Forums de chercheursduvrai.fr -> Sai Baba

chercheursduvrai.fr

Aide

Recherche

Membres

Calendrier

Bienvenue invité ( Connexion (Log In) | Inscription (Register) )

Recevoir à nouveau l'email de validation

To view this board in english, you must be registered.

Excellent site trouvé, très fourni sur les contactés extraterrestres, à visiter : https://contactstellaire.fr

Forums de chercheursduvrai.fr -> Les Forums -> Spiritualité

Pages: (4) 1 [2] 3 4 ( Aller vers premier message non lu )

Sai Baba - avatar

Suivre ce sujet | Envoyer ce sujet | Imprimer ce sujet

LightInWay

Ecrit le: Mercredi 19 Août 2015 à 21h59

Unregistered

Pour vous présenter le livre "Mes miracles sont mes cartes de visite" sur Sai baba, de Erlendur Haraldsson, je vous mets l'extrait de sa première rencontre avec Sai baba et de la matérialisation qui ne pourrait avoir été préparée venant au fil d'une discussion, qui montre encore les faits réels dont Sai Baba faisait preuve:

Citation

Saï Baba parle assez bien anglais et, j'appris cela plus tard, d'habitude ne prend pas d'interprète quand il parle avec des anglophones.
Tout en nous accueillant, d'un geste de la main, il produisit de la vibhuti qu'il distribua à chacun d'entre nous. Après quelques phrases d'introduction, nous nous assîmes tous en tailleur à même le dallage.

La pièce ne possédait pas d'autre meuble qu'un fauteuil en bois situé dans un angle. Il n'y avait ni tapis, ni décoration sur les murs, excepté une horloge et un calendrier. La pièce était relativement petite. Une porte ouvrait sur une pièce adjacente, une autre donnait accès à un petit escalier menant à l'appartement de Baba situé à l'étage.

Un rideau accroché à une ficelle, tenait lieu de porte dans les deux cas.
Nous lui dîmes que nous étions chercheurs en parapsychologie et que nous avions entendu de nombreux récits de miracles survenant en sa présence. Pendant que nous parlions, il refit un rapide petit mouvement circulaire de la main droite et, hop ! apparut dans sa paume une grosse bague brillante en or qu'il passa à l'annulaire du docteur Osis en lui disant qu'elle était pour lui.

Elle lui allait tout à fait bien. Un portrait émaillé en couleur, de forme ovale, représentant assez fidèlement Saï Baba, était enchâssé dans la bague. Nous exprimâmes notre admiration mais lui dîmes que nous étions essentiellement intéressés par une étude scientifique du phénomène,ce qui supposait que nous devions avoir un certain contrôle de la situation, et que nous aimerions le voir participer à des expériences scientifiquement contrôlées. Cela va sans dire, nous étions bien conscients des tours de passe-passe que peut effectuer un prestidigitateur entraîné, d'où la nécessité d'expériences effectuées sous contrôle. Nous étions particulièrement intéressés par ses expériences de sortie de corps. Nous avions, en effet, entendu des récits où il apparaissait à plusieurs personnes en différents lieux simultanément.

Là-dessus, s'ensuivit une longue discussion sur la valeur de la science. Il ne dénigra pas la science mais, d'après lui, les méthodes scientifiques ne pourraient jamais expliquer les miracles. Ils étaient hors de portée de la science. Nous tentâmes d'argumenter en disant qu'il en était ainsi seulement parce que les scientifiques avaient négligé d'analyser à fond ces phénomènes. Lui, avec ses facultés extraordinaires, pourrait nous fournir de nouvelles connaissances en la matière, si certaines des histoires incroyables que nous avions entendues étaient vraies.

Nous argumentâmes ainsi un long moment. Il disait qu'il n'était pas homme à se donner en spectacle et qu'il utilisait ses pouvoirs uniquement pour le bien de ses disciples. La conversation revenait régulièrement à ses sujets favoris : les questions morales et spirituelles.
A un moment donné, il expliqua que la vie quotidienne et la vie spirituelle devaient grandir ensemble comme un double rudraksha. J'ignorai ce qu'était un rudraksha et plus encore un double rudraksha, aussi lui demandai-je de bien vouloir me l'expliquer. Il ne parvint pas à me l'expliquer clairement, ni M. Khera dont il utilisait très peu les qualités d'interprète.
Apparemment, il nous comprenait assez bien et son anglais s'avérait suffisant la plupart du temps.

Comme je n'étais pas pleinement satisfait de leurs explications, je leur demandai encore et encore de m'expliquer avec précision ce qu'était un double rudraksha.

Peut-être y avait-il dans mon insistance un fond de taquinerie (cette pensée m'est venue rétrospectivement), car je sentais que le swami ne nous donnait pas toute la coopération qu'il aurait pu. Quelques furent mes motifs, le fait est que mon entêtement et leur incapacité, en dépit de leurs efforts, à m'expliquer clairement ce qu'était un rudraksha, commençaient à devenir embarrassants. Le docteur Osis semblait particulièrement gêné de mon insistance.

Alors subitement, avec un geste d'impatience, Saï Baba ferma la main, la secoua une seconde ou deux, l'ouvrit et se tourna vers moi en disant : "En voici un." Dans sa main, il y avait quelque chose ressemblant à une sorte de gland, brun, ayant trois centimètres environ dans sa partie la plus large et possédant une fine texture granuleuse rappelant celle d'un noyau d'abricot. C'était deux rudrakshas ayant poussé ensemble comme deux oranges ou deux pommes accolées. Son geste sembla spontané pour nous sortir d'une situation embarrassante et ne semblait pas avoir été prémédité. Il le fit circuler pour que nous puissions le toucher, l'examiner et l'admirer. Il avait la fraîcheur et la propreté que, par la suite, j'observai être caractéristique des objets qu'il produit.

Quand tout le monde l'eut examiné de près, il le reprit, se tourna vers moi en disant :
"Je voudrais vous faire un cadeau." Il enserra le rudraksha dans ses mains, souffla dessus, ouvrit les mains en face de moi. Dans sa main apparut alors un joli bijou. Le double rudraksha était maintenant coiffé de deux minuscules cupules en or, l'une située sur sa partie supérieure, l'autre sur sa partie inférieure. Les deux petites cupules étaient reliées de chaque côté du rudraksha par une courte chaînette en or. Sur le dessus, se trouvait une croix portant un petit rubis. Au dos de la croix, un petit anneau permettait de suspendre le rudraksha à une chaîne.

Les magiciens ne peuvent en aucun cas faire apparaître des objets sans préparation.
Est-il possible que Baba ait prévu de me donner le double rudraksha et ait alors programmé l'incident en ayant avec lui deux doubles rudrakshas, l'un sans et l'autre avec les petites cupules en or ? L'incident ayant eu lieu lors d'une discussion, il nous a semblé ne pas avoir été préparé, quoique nous ne puissions pas en être absolument sûrs. Par la suite, des expert-botanistes m'assurèrent qu'un double rudraksha est une rare anomalie de la nature.

[On peut acheter des rudrakshas à tous les coins de rue en Inde mais plusieurs botanistes m'ont affirmé qu'un
double rudraksha est chose extrêmement rare, si rare en fait, qu'auc un d'entre eux n'avaient jamais eu l'occasion
d'en voir un, tout en sachant qu'il en existe. Les rudrakshas ont une signification religieuse particulière puisq ue
Shiva, un des principaux dieux de l'hindouisme, est toujours représenté avec un collier de rudrakshas.

En 1980, je me rendis au conservatoire national de botanique d'Inde, en compagnie du physicien hollandais Joop
Houtkooper. Ce conservatoire qui se trouve près de Calcutta, possède une section spécialisée en plantes ayant
une signification religieuse ou symbolique. Nous rencontrâmes le directeur, M. Sathyanarayana Rao, qui fit
appeler le chef du département en question. Ces deux hommes étaient spécialistes en rudrakshas (Elaecarpus granitus en latin), et nous firent admirer une très belle collection de toutes les espèces connues de rudrakshas , la plus importante des collections indiennes. Pourtant , ils n'avaient jamais vu, ni pu acquérir un double rudraksha. Ils nous assurèrent que notre rudraksha était un spécimen authentique.

En 1983, après d'autres recherches chez des botanistes indiens, je finis par découvrir un homme ayant vu des
doubles rudrakshas en vente dans une boutique à Madras. Nous nous rendîmes à Khadi Granodygog Bhavan, près de Mount road, où nous en trouvâmes effectivement. Ils étaient en vente au prix de 272 roupies pièce, soit l'équivalent pour un acheteur indien moyen, de 272 dollars. D'après le vendeur, un swami les avait récoltés au Népal et lui en avait vendu plusieurs. Ils étaient petits et malformés, certains à peine accolés. Comparés à mon magnifique rudraksha , ils étaient de bien piètres échantillons qu'on avait peut être fait pousser ensemble
artificiellement. Les botanistes auraient-ils tous tort en ce qui concerne l'extrême rareté des doubles rudrakshas? ]

Un bijoutier londonien évalua l'or entourant le rudraksha à 22 carats minimum.

Nous demandâmes au swami comment il était capable de produire des objets si beaux et si précieux apparemment à partir de rien. Pourquoi pouvait-il le faire et pas nous ? "Nous sommes tous comme des allumettes, répondit-il, mais la différence entre vous et moi est qu'il y a du feu sur la mienne." Il aimait s'exprimer en métaphores. Certaines d'entre elles étaient mémorables, mais est-ce que ce qu'il disait était vrai ? comment pouvions nous le savoir ?

Nous commencions à entrevoir que le langage de Saï Baba relevait du domaine de la religion et non de celui de la science empirique.
Notre sympathique swami n'était pas un homme de science. Sur le plan culturel et scientifique, il y avait un fossé entre nous et je me demandais s'il pourrait un jour être comblé.

En revanche, sur le plan personnel, ce n'était pas le cas. Il était facile de l'aimer. Il émanait de sa personne je ne sais quelle fraîcheur et une délicieuse spontanéité.

Le livre complet à lire en PDF ici:
http://www.sadhana.ca/pdf_miracles.pdf

BlueDragon	Ecrit le: Mercredi 19 Août 2015 à 22h55
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 3939 Membre n°: 10047 Inscrit le: 07/11/2011	une image pour se faire une idée : -------------------- « No matter where you are, Look for the brightest star, Believe it is true, My soul is smiling at you", FastWalkers

LightInWay

Ecrit le: Jeudi 20 Août 2015 à 10h38

Unregistered

Merci pour la jolie photo. En effet, bel objet naturel serti d'un joli cerclage doré.
Tu as trouvé une jolie photo.

Je mets encore un extrait de notre scientifique parapsychologue qui est allé là-bas comme sceptique cherchant à voir ce qu'il en était vraiment et a étudié les robes de Saï Baba, irréprochables de diverses façons: observées quand il ne les porte pas, sans poche cachée, voyant à travers elles quand Saï Baba est au Soleil: aucun objet dedans n'apparait en ombrage, Saï Baba qui relève les manches jusqu'aux coudes quand il est face à des septiques (comme on l'a vu avec Howard H. Sandweiss qui décrit cela aussi plusieurs fois), bref tout ce qui montre qu'il matérialise bien aux yeux du septique qu'était cette personne:

Citation ("Mes miracles sont mes cartes de visite" @ Erlendur Haraldsson, page 147)

La plupart des gens qui voient Baba produire un objet pour la première fois, pensent qu'il effectue un simple tour de prestidigitation et qu'il prend les objets dans ses manches, dans ses cheveux ou ailleurs à leur insu, comme n'importe quel magicien habile.

Cache-t-il les objets dans ses cheveux ? J'ai longuement filmé Saï Baba pendant les darshans, notamment lorsqu'il produit de la vibhuti. Sur les quelques heures de film et de vidéo que j'ai pris, on peut voir qu'il porte rarement la main à ses cheveux. Je l'ai également observé attentivement pendant les darshans et pendant les entretiens que j'ai eus avec lui, et je peux témoigner qu'il touche rarement ses cheveux.

Saï Baba porte une robe d'un style particulier : une longue robe qui lui tombe jusqu'aux pieds et qui présente une échancrure de chaque côté. Les manches sont longues et deux boutons dorés ferment le col. Il n'y a pas d'autre bouton, ni d'autre ouverture. Il possède plusieurs robes identiques. Elles sont en tissu synthétique et n'ont ni poche, ni repli. Dessous, m'ont dit ses anciens attachés personnels, il porte seulement un caleçon ou un dhoti.

Il fait très chaud en Inde et comme tout le monde, Saï Baba est vêtu légèrement. C'est un tailleur de Whitefield qui confectionne ses robes. Il en fait en général plusieurs à la fois car Saï Baba donne facilement à ses disciples les robes qu'il a portées quelque temps. J'ai été voir son tailleur qui m'a montré les robes qu'il était en train de faire.

J'ai aussi examiné des robes offertes par Baba à plusieurs de ses disciples et je n'ai vu sur aucune d'elles, de poche secrète ou de repli permettant de dissimuler un objet. On peut évidemment se demander si ces robes ne sont pas juste pour la montre et si elles sont bien celles qu'il porte mais rien ne permet de penser cela. Autrefois, il arrivait que ses disciples lui offrent une nouvelle robe qu'il mettait aussitôt et, apparemment, cela ne l'empêchait pas de continuer à produire des objets aussi facilement qu'avant.

Je n'ai jamais pu examiner de près les vêtements que Saï Baba porte sur lui mais j'ai rencontré des personnes qui ont pu le faire. Dans un chapitre précédent, j'ai rapporté le témoignage de M. Banerjee, de son épouse et de M. Bhattacharya relatant la visite que Saï Baba leur fit un jour à l'improviste et au cours de laquelle il produisit plusieurs objets. Ce soir-là, Saï Baba demanda à Mme Banerjee si elle voulait bien lui laver sa robe pour qu'il puisse la remettre le lendemain. M. Bhattacharya et les Banerjee en profitèrent pour l'examiner soigneusement et n'y trouvèrent ni poche, ni repli secret.

Les robes de Baba sont faites du tissu léger des chemises indiennes ordinaires qui laisse facilement passer le jour. Que Baba se trouve dehors ou dans la pièce réservée aux entretiens alors que le soleil entre par la fenêtre, je n'ai jamais remarqué, même en étant tout près, la moindre ombre suspecte. Lorsqu'il y a du vent et que sa robe lui moule le corps, je n'ai jamais non plus remarqué, ni entendu quelqu'un dire, qu'il avait vu la moindre protubérance qui pût indiquer un objet dissimulé.

Lorsqu'il a affaire à des personnes sceptiques, Saï Baba relève ses manches bien haut avant de faire apparaître des objets. Il m'est arrivé aussi d'être assis tout près de lui et de voir l'intérieur de ses manches qui sont relativement larges et sans bouton, et je n'ai rien aperçu de suspect.

En bref, rien ne permet de penser qu'il dissimule des objets sur lui en utilisant un quelconque artifice comme le font souvent les magiciens. J'ai effectué huit voyages en Inde au cours desquels j'ai interviewé des dizaines de personnes, discuté moins formellement avec quantité d'autres, entendu et cherché à vérifier de nombreuses rumeurs, mais je n'ai trouvé aucune preuve solide confortant l'hypothèse du tour de passe-passe.

LightInWay

Ecrit le: Jeudi 20 Août 2015 à 19h05

Unregistered

Et hop, un petit coup de Howard Murphet quand il était arrivé en occidental sceptique sur un matérialisation juste sous ses yeux où il a vu l'objet apparaitre dans la main en direct à quelques centimètres de son nez:

Citation ("Sai Baba @ l’homme des miracles", Howard Murphet, page 52)

Mais il ne se passe jamais de réunion sans que Baba ne produise un objet ou un autre, sans mentionner la vibhûti qu’il matérialise régulièrement d’un mouvement de la main. De la même façon, je l’ai vu cueillir du vide des pendentifs, des chaînes, des bagues, des colliers et mains autres objets qu’il offre, comblant par ces présents ceux qui les reçoivent.

Apparemment, il se doutait que mes soupçons à son endroit n’étaient pas encore dissipés, car il continuait à relever ses manches jusqu’au coude avant de saisir un objet du vide. Un jour, il n’eut pas besoin de relever sa manche au-delà du coude pour écarter tout soupçon. Il faisait extrêmement chaud. Baba portait une robe à manches courtes. Alors, comme s’il voulait exorciser une fois pour toutes cet esprit sceptique qui me possédait, il posa sa main droite, la paume ouverte, sur le bras de la chaise, à quelques centimètres de mes yeux. Si j’avais été chiromancien, j’aurais pu lire sans mal les lignes et les monts de la paume délicate et des doigts fins et gracieux. Je pouvais être sûr, en tout cas, que le moindre objet ne pouvait s’y dissimuler.

Puis il souleva sa main et commença à faire, en l’air, des gestes circulaires, à peu près à cinquante centimètres de mon nez. Un moment, la main était vide ; l’instant d’après elle tenait quelque chose de gros et de brillant qui dépassait de chaque côté de son poing. Il secoua l’objet pour le déployer, et je vis que c’était un long collier de pierres de couleur. C’était ce que les hindous appellent un japamâlâ, qui est utilisé de la même manière que le rosaire des chrétiens. Il est toujours composé de cent huit perles. Aucun prestidigitateur n’aurait pu dissimuler un objet aussi important pour le faire apparaître ensuite de pareille façon. Baba l’offrit à une dame à cheveux gris qui se trouvait sur sa gauche.

LightInWay

Ecrit le: Jeudi 20 Août 2015 à 19h22

Unregistered

Sai Baba et l'argent, par Howard Murphet:

Citation ("Sai Baba @ l’homme des miracles", Howard Murphet, page 50 à 54)

L’ashram possède sa propre cantine, où je fus prié de prendre mes repas. Mais, comme j’étais l’invité de Sai Baba, on ne me permit pas de payer. Le logement était gratuit, et on venait de me faire cadeau d’un tas de livres ! Décidément, je ne pouvais rien payer ! Mais peut-être pourrais-je faire un don d’argent à la fin de mon séjour, comme c’est coutume dans la plupart des ashrams de l’Inde ? J’en parlai à M. Kasturi.

« Non », dit-il d’une manière catégorique, « baba n’accepte pas de dons. Il n’accepte jamais d’argent de qui que ce soit. »
« Il semble avoir beaucoup de riches disciples, répondis-je ; peut-être contribuent-ils à l’entretien de l’adshram ? »
« Non, répondit-il en souriant, mais ne vous fiez pas à ma parole ; demandez-leur vous-mêmes. Plusieurs d’entre eux vont arriver incessamment pour la fête de Shivârâtrî. »

[…]

Je découvris bientôt que les disciples venaient de toutes les régions de l’Inde et appartenaient à toutes les classes de la société : princes, hommes d’affaires, hommes de loi, fonctionnaires, savants, militaires, employés de bureau, commerçants. Dans les logements, du côté des dames, se trouvaient la Maharani de Sandur avec sa fille, et Nanda, la princesse de Kutch. Parmi les hommes se trouvaient le Kumaraja –ou prince- de Venka-tagiri, le Kumaraja de Sandur, M.G. Venkateshwara, le magnat du mica, et moi-même.

Ces gens étaient tous riches. Me rappelant le défi que m’avait lancé M. Kasturi, je fis enquête auprès d’eux, ainsi qu’auprès d’autres disciples aisés, sur les dons d’argent faits à Sai baba. Ils me donnèrent tous la même réponse. Ainsi que le firent bien d’autres que je questionnais plus tard. Tous me dirent qu’ils auraient bien voulu aider l’ashram de Baba sur le plan financier, mais qu’il refusait d’accepter la moindre contribution de leur part. Et autant qu’ils le sachent, il n’avait jamais accepté quoi que ce soit de personne.

Je ne pouvais m’empêcher de penser qu’il y aurait eu là une belle occasion pour ces leaders religieux et leurs organisations, qui étaient constamment à la recherche de fonds. Il y avait non seulement ce noyau de gens riches, ne demandant qu’à partager leurs richesses, mais encore ces foules immenses qui se réunissaient pour écouter les discours de Baba, allant parfois jusqu’à deux cent mille personnes. Quelles collectes aurait-on pu faire dans une telle foule, avec l’aide d’un évangéliste plein de fougue ! Mais Sai baba refusait d’accepter la moindre « paisa ». Alors, comment trouvait-il l’argent dont il avait besoin ? A cette question, ils souriaient, comme s’ils voulaient dire : « Comment Baba accomplit-il tout ce qu’il fait ? C’est un mystère que nus ne pouvons pas résoudre. » Ainsi, quelle que fût la raison pour laquelle il faisait des miracles, il devenait de plus en plus évident que ce n’était pas pour le gain.

LightInWay

Ecrit le: Jeudi 20 Août 2015 à 20h39

Unregistered

Il n'y a pas que des matérialisations. Voici des extraits. Aussi un petit topo sur la taille des objets matérialisés qui dépasse la taille d'une main fermée parfois, et sur la téléportation d'objets auquel Sai Baba dit faire parfois appel, il ne matérialise pas toujours:

Citation ("Mes miracles sont mes cartes de visite" @ de Erlendur Haraldsson)

5 personnes l'ont vu transformer de l'eau en essence pour dépanner la voiture dans laquelle ils se trouvaient (voir à ce propos le récit d'Amarendra). Krishna Kumar, Vijaya et Lilamma eux aussi, affirment avoir roulé avec Baba dans une voiture dont on venait de remplir le réservoir avec de l'eau. Parthasarathy ( décédé récemment), le frère de Nagaratna Mudelier, nous déclara en 1975, avoir lui aussi été témoin d'un tel phénomène. Tous ces incidents se produisirent au cours des années 40 et 50.

4 participants à l'enquête (Krishna Kumar, Vijaya, le raja de Venkatagiri et Gopal Krishna), ont vu la robe de Baba changer de couleur soudainement.

On nous a rapporté aussi plusieurs incidents concernant des pellicules photos.
Nagaratna Mudelier (un riche armateur de Madras, âgé d'environ 70 ans et disciple de Baba),m'a raconté qu'un jour, alors qu'il était en train de prendre Baba et un groupe de personnes en photo (avec la permission de Baba), il se trouva soudain à court de pellicule. D'un geste, Baba produisit alors deux rouleaux de pellicule de douze poses, du modèle en usage à l'époque.

[...]

Certains opposants à Baba l'accusent de ne produire que des petits objets que l'on peut facilement dissimuler dans la main. Quel est donc le plus grand objet que nos participants ont vu Baba produire ? La majorité d'entre eux cite des statues dont les hauteurs vont de 10 à 30cm. La plus grande statue produite par Baba, à ce qu'on m'a dit, que j'ai pu voir et mesurer avait 13 cm de hauteur. Les photos de Baba prises sur une plage de la côte ouest du Gujarrat, permettent d'établir que la statue de Krishna qu'il tient en main et qu'il vient de faire sortir du sable, mesure entre 20 et 30 cm.

[...]

Une personne pense que les objets sont téléportés (c'est-à-dire qu'ils existent quelque part et que Baba est capable de les faire disparaître de l'endroit où ils se trouvent pour les faire apparaître dans sa main au moment où il le désire).
J'ai demandé à plusieurs personnes si elles ont parfois interrogé Baba sur ce point. La réponse de Baba est en général: "Quelquefois je crée les objets, d'autres fois je les téléporte."
J'ai entendu plusieurs histoires pouvant faire penser que Baba téléporte en effet parfois des objets, mais je n'ai trouvé aucun témoignage qui puisse être corroboré par un second témoin.

LightInWay

Ecrit le: Vendredi 21 Août 2015 à 08h33

Unregistered

Hors matérialisations et phénomènes extraordinaires constatés, l'amour de Sai Baba pour le genre humain le conduisait à guérir de nombreuses maladies. Il a fait preuve un nombre incalculable de fois de ce genre de miracles de guérisons dont voici un extrait:

Citation ("Sai baba @ l'homme des miracles", Howard Murphet, pages 54 à 57)

A part les phénomènes de matérialisation dont j’avais été témoin, il y avait des récits relatifs à presque tous les genres de miracles mentionnés dans les chroniques historiques du fantastique : entre autres, les cures miraculeuses de diverses maladies, certaines affectant le patient durant des années, d’autres considérées comme incurables par les médecins.

Dans l’ashram, il y avait un hôpital avec deux médecins de service, et, de temps en temps, des volontaires venus du dehors. Ces deux médecins étaient le médecin-chef, le docteur B. Sitaramiah, et son assistante, le docteur N. Jayalakshmi. Le médecin-chef me raconta que, lorsqu’il y a quelques années Sai Baba lui demanda de prendre l’hôpital en charge, il avait déjà pris sa retraite et se sentait peu enclin à assumer une telle responsabilité. Mais Sai Baba lui dit qu’il ne serait qu’un figurant et que lui, Baba, prendrait en charge les guérisons. Le docteur Sitaramiah, qui était un fervent disciple, fut rassuré en ce qui concernait son travail. Et ainsi fut fait.

« A part les soins ordinaires, j’ai toujours pris les directives de Baba, me dit-il. Il y a eu nombre de guérisons de maladies qui étaient considérées incurables par les moyens médicaux connus. Du point de vue scientifique, ces guérisons sont inexplicables. »

Il fit, à mon intention, un inventaire détaillé de plusieurs cas, me montrant des radios, des rapports médicaux et autres documents sur les différents cas. Voici quelques exemples des maladies traitées par baba à l’ashram. Ils démontrent en plus qu’il a, ainsi qu’il le dit, « des ordonnances différentes pour des patients différents ».

Un disciple de Mangalore souffrait de tuberculose. Il y avait hémorragie, et les radios montraient une cavité dans le poumon droit. Les médecins considéraient que la maladie était probablement guérissable, mais qu'un traitement efficace prendrait à peu près deux ans. Au lieu de se soumettre au traitement prescrit, elle décida d’aller à Prashanti Nilayam.
Sai Baba lui donna de la vibhûti de sa propre main et elle fut admise à l’hôpital. Environ une semaine plus tard, lors d’une de mes visites à l’hôpital, elle y était encore, en convalescence. D’après les médecins, tous les symptômes de tuberculose avaient disparu. Elle avait été guérie en une semaine au lieu de deux ans.

Un jeune homme qui vivait à Bombay, mais récemment revenu de Suisse, souffrait d’un mal que les médecins d’Europe et de Bombay avaient déclaré être un cancer. Il n’était pas disciple de Sai baba, mais des amis l’avaient persuadé d’aller à Prashanti Nilayam. En désespoir de cause, il s’y rendit et s’installa, non pas à l’hôpital, mais dans un bâtiment près de la cantine. Là, il attendit, tout en priant Sai Baba de l’aider.

Une nuit, il rêva que quelqu’un venait de lui rendre visite, et que cette personne avait dans la main un couteau à lame brillante. A son réveil, il ne se souvenait que de deux choses, raconta-t-il au Dr. Sitaramiah et à d’autres : le visiteur imprécis et le couteau lumineux. Peut-être n’était-ce qu’un rêve. Au gérant de la cantine qui lui apporta son petit déjeûner le lendemain matin, il montra une large, mystérieuse tache de sang sur son drap. Baba l’avait-il opéré pendant qu’il dormait ? Un évènement aussi étrange n’était pas chose nouvelle. En tous cas, tous les signes de ses symptômes du cancer avaient disparu.

Environ un an plus tard, j’écrivis au jeune homme pour savoir si la guérison du cancer avait été complète. Sa réponse me vint de Suisse où il avait repris sa situation. Il était en parfaite santé… Et, ajoutait-il, il ne se passait de jour où il ne pensât à Sai Baba e ne lui offrît du fond du cœur une prière de reconnaissance pour sa guérison miraculeuse.

Un homme de cinquante-huit ans, qui souffrait d’une fièvre intense, fut amené à l’hôpital. Il avait été en traitement dans un autre hôpital pour fièvre et dysentrie, pendant deux mois, sans éprouver aucun soulagement. A l’hôpital de l’ashram, les médecins essayèrent plusieurs traitements : quinine, pénicilline, chloromycétine, mais sans succès. La température du malade restait au-dessus de quarante, il délirait, et son état général empirait. Il avait perdu conscience ; il semblait qu’il n’y eût plus d’espoir pour lui.

A ce moment-là, Sai Baba vint à l’hôpital pour lui rendre visite. Matérialisant de la vibhûti à sa façon habituelle, il en frotta le front de l’homme inconscient et en mit un peu dans sa bouche. Au bout de quelques instants, sa température commença à baisser, le malade reprit conscience et son état s’améliora rapidement. Bientôt, il avait retrouvé son état normal et ne montrait aucun signe de dysentrie. Quand il eut retrouvé ses forces, il put quitter l’hôpital.

Un infirme, incapable de marcher, de se tenir debout ou même de s’asseoir, fut amené à l’ashram. Cet homme, un riche planteur de café de l’état de Mysore était âgé de cinquante ans environ. Depuis plus de vingt ans, il souffrait d’un rhumatisme articulaire grave. Il avait essayé maints traitements, mais sans succès. Et maintenant, pour ajouter à ses autres malheurs, il avait un rein endommagé qui ne fonctionnait plus. Sa température demeurait aux environs de quarante degrés.

A l’hôpital de Prashanti Nilayam, il refusa tout traitement orthodoxe, annonçant qu’il avait une fois absolue en Sai baba et ses pouvoirs de guérison. Pour lui, Baba agita sa main et produisit une petite fiole de médicament dont il prescrivit deux gouttes, dans de l’eau, deux fois par jour. Quinze jours après le commencement du traitement, le planteur pouvait marcher avec l’aide d’une canne. Baba lui donna alors un mantra à répéter un certain nombre de fois chaque fois qu’il faisait le tour de la salle de prières. Au bout d’un mois, il marchait sans canne. Son rein ne lui causait plus d’ennuis ; il fonctionnait de nouveau normalement.
Avant de repartir à sa plantation, il voulut exprimer à Sai Baba sa profonde reconnaissance. Mais celui-ci lui répondit : « Ne me remerciez pas. C’est votre propre foi qui vous a guéri. »

Je demandai au Dr. Sitamariah si la cure était définitive, ou si, au contraire, les symptômes étaient réapparus. « Il semble que ce soit définitif. Pas mal de temps après le départ du planteur, j’appris qu’il était toujours actif et en bonne santé. »

Pendant les mois qui suivirent, j’eus l’occasion de rencontrer maintes personnes qui avaient souffert de maladies graves, parfois mortelles, et qui avaient fait l’expérience de guérisons dramatiques et miraculeuses ; et d’autres encore, qui avaient été témoins de cures fantastiques parmi les membres de leur famille ou leurs amis. Beaucoup d’entre elles étaient très en vue dans leur milieu, ou bien étaient des personnages de marque. Elles m’ont promis d’utiliser leurs noms. Je parlerai d’elles dans la suite du livre.

BlueDragon	Ecrit le: Vendredi 21 Août 2015 à 10h10
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 3939 Membre n°: 10047 Inscrit le: 07/11/2011	Ah mais attends je l'ai pas encore lu ! Raaah Du coup Ça m'a donné envie de le lire... -------------------- « No matter where you are, Look for the brightest star, Believe it is true, My soul is smiling at you", FastWalkers

LightInWay

Ecrit le: Samedi 22 Août 2015 à 06h26

Unregistered

Citation (BlueDragon @ Vendredi 21 Août 2015 à 10h10)

Ah mais attends je l'ai pas encore lu ! Raaah

Du coup Ça m'a donné envie de le lire...

Ok, ok, je ne mets plus d'extraits provenant de ce livre-là.

LightInWay	Ecrit le: Samedi 22 Août 2015 à 06h47
Unregistered	En parcourant des pages sur le net, je vois que beaucoup font un pataquès de l'âge du décès de Sathya Sai Baba qui n'est pas celui qu'il avait annoncé. Outre l'explication donnée par quelques disciples sur le calendrier de l'étoile qui permet de voir que la date annoncée n'a rien de forcément incohérent avec celle qui est arrivée, admettons que ceci ne soit qu'un heureux hasard et qu'en fait il ne soit pas mort à la date qu'il avait initialement prévue il y a quelques dizaines d'années. Je dis: "et alors?" En quoi cela change-t-il d'un iota la multitude des dizaines de milliers de matérialisations, de guérisons, de faits extraordinaires, lectures de pensées, du passé des gens et prédictions sur leur futur qu'ils ont pu par la suite montrer réalisé, à l'amour manifesté par le don constant aux pauvres, aux messages véhiculés, etc? En rien du tout. C'est le problème de ces gens qui ne s'intéressent pas à ce qui est montré par Sai Baba mais cherchent un prétexte quelconque pour tout jeter avec; typique de l'esprit non spirituel qui a besoin de se prouver que le monde ne peut pas être autrement que comme il se l'imagine; sans quoi il a peur; de l'âme jeune qui doit rester dans le cadre matérialiste borné et n'est àla recherche de rien, et a même besoin d'enfoncer tous ce qui est spirituel pour se prouver qu'il a raison. Si, et là c'est donc une simple hypothèse; je dis donc si Sai baba est en effet décédé à une date autre que celle qu'il avait prévue il y a plusieurs dizaines d'années quand il a annoncé plusieurs fois son âge de décès; non seulement cela ne change rien à la myriades des miracles et faits qu'il a effectués, mais de plus ça ne montrerait pas non plus que cette prédiction sur son âge de décès est fausse. En effet, il peut très bien y avoir eu un changement de la date prévue à cause d'évènements extérieurs. Par exemple, un avatar est sur Terre sur demande et avec l'autorisation de l'âme planétaire, qu'on appelle Gaïa, ou Sanat Kumara selon les philosophies qui le nomment, et tous les enseignements spirituels donnés indiquent bien que l'humanité a le libre arbitre; qu'en fonction de son libre arbitre elle peut ralentir ou accélérer certains évènements et décider de ne pas faire un choix qui est celui souhaitable pour l'avancement commun. En fonction de cela, et de l'évolution de la grande âme planétaire qui a son propre agenda; du fait que les humains suivent ou pas la voie qu'elle leur demande (mais ne leur impose pas, libre arbitre faisant foi); il y a donc des adaptations aux plans d'enseignement donnés. Ces adaptations peuvent très bien faire qu'il ait été demandé à l'avatar de terminer sa mission avant le moment prévu initialement lorsqu'il a commencé cette mission, car l'humanité a réagi autrement que ce qu'il fallait; pour permettre à d'autres évènements d'avoir lieu ou changer un peu le plan d'enseignement spirituel mis en place. On voit alors très bien que ces changements ne sont donc en rien un signe de quelque chose de faux, mais le fait que le plan est vivant et s'adapte à la vie qui a la liberté de prendre les chemins proposés ou pas (si ils étaient imposés, la question ne se poserait pas, ce n'est pas le cas justement). D'ailleurs, si, parmi la multitude des milliers de canaux qui reçoivent depuis 15 ans des informations de nature soi-disant extraterrestres qui disent à peu près tous que l'humanité n'a pas vraiment suivi le virage attendu et que la planète a attendu plus que de raisonnable pour elle que l'homme passe ce cap avant de faire des transformations qui lui sont propres, qu'elle n'attend plus maintenant; alors il parait évident qu'en effet il y a des modulations de plan car nous n'avons pas réagi comme il le fallait. Je dis bien si, car il se peut très bien que 100% de ces messages soient d'origine purement du monde astral des défunts qui décident d'intoxiquer le monde des hommes pour le stimuler à avancer en lui faisant croire qu'il rate le pas; pour le pousser au-delà de ses petites routes sinueuses, croyant bien faire, mais apportant de fausses informations, les informations réellement extraterrestres étant alors de 0% (dans les channel, il est impossible de vérifier l'authenticité de la source,on peut montrer des vaisseaux et autres ET à une personne capable de percevoir, ça peut-être une création purement astrale de visions par ds êtres tout à fait terrestres, impossible à savoir!). Bref pour en revenir à nos moutons, non seulement il est possible que le plan se module, mais même les informations annexes permettent de le penser comme étant assez probable. Dans ce cas, le départ d'un avatar majeur à une date modifiée est tout à fait possible aussi. Et ceci étant dit dans le cas d'une date de départ non prévue, ce que j'ai envisagé seulement comme hypothèse; l'interprétation des disciples sur le calendrier de l'étole pouvant ne pas être une simple coïncidence heureuse de date mais la marque que le départ s'est fait à l'heure initiale sans modulation. Bref tout ça pour dire que ce fait n'a absolument aucune importance et ne remet rien en cause, ni de lui-même, ni du reste de ce qui a été fait et que je ne vois pas en quoi il y a lieu à focaliser dessus; comme certains le font. D'ailleurs quand il reviendra (car il est sensé revenir une troisième et dernière fois, normalement, entre 1 et 8 ans après le départ initial prévu; plus le temps de "prendre ses fonctions", ce qu'il a fait à 14 ans dans la vie en tant que Sathya; donc disons qu'il faudra encore 20 ans environ pour le voir de retour de façon connue (normalement un certain nombre de ceux qui sont intéressés par ces informations ici seront encore en vie); il pourra dire lui-même si il est bien parti comme prévu ou si il y a eu changement.

LightInWay	Ecrit le: Samedi 22 Août 2015 à 07h05
Unregistered	Je vais donc utiliser pour la suite des extraits du livre de Kasturi, "La vie de Sathya Sai Baba" pour changer encore de source (des livres sur Sai baba par des gens qui ont vécu auprès de lui et racontent leurs propres observations et les récits de témoins qu'ils ont rencontré il y en a des dizaines de par le monde, certains étant publiés par des occidentaux, la plupart par des orientaux; mais il y en a assez par des occidentaux en anglais et traduits en français pour avoir de quoi voir venir). Si vous voulez lire ce livre en PDf gratuitement, c'est ici (plusieurs livres, chacun couvrant une période de temps donnée mise entre parenthèse à la suite du lien): http://www.sadhana.ca/pdf_sathyam_v1.pdf (1926-1961) http://thierry.laurent9.free.fr/Menu/News/...NDARAM_VOL2.pdf (1961-1967) http://thierry.laurent9.free.fr/Menu/News/...NDARAM_Vol3.pdf (1969-1972) http://thierry.laurent9.free.fr/Menu/News/...NDARAM_Vol4.pdf (1973-1979) Ici vous trouverez des sources de nombreux livres mis en PDF ou documents fascicules en français sur Sai Baba pour compléter vos lectures: http://thierry.laurent9.free.fr/index.php?...news.php#art160 De mon côté je lis assez peu en format électronique quand les livres sont gros, je préfère en papier et j'achète le livre, même si j'ai la version PDF gratuite. Chacun voit selon ses facilités.

LightInWay	Ecrit le: Samedi 22 Août 2015 à 07h16
Unregistered	Vous avez aussi des livres qui poursuivent l'étude par période des faits de Sai Baba: http://thierry.laurent9.free.fr/Menu/News/.../SSS_vol5.pdf (1980-1985) http://thierry.laurent9.free.fr/Menu/News/.../SSS_V6_TL.pdf (1986-1993) http://thierry.laurent9.free.fr/Menu/News/...s/SSS_vol7.pdf (1994-2001)

LeTigreFr	Ecrit le: Samedi 22 Août 2015 à 12h05
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 3069 Membre n°: 10219 Inscrit le: 30/11/2012	Merci pour toutes ces références et ton travail en tout cas. J'ai un portrait de lui chez moi car son histoire m'avait marqué il y a quelques années. Les paroles et les missions sont très proches de celles de Maitre Philippe de Lyon http://www.philippedelyon.fr/ -------------------- Supplions inlassablement Dieu d’accroître en nous deux vertus : l’amour et la crainte. Car l’amour nous fera courir sur les voies du Seigneur et la crainte nous incitera à regarder où nous posons le pied. L’un nous fera apprécier les réalités du monde pour ce qu’elles sont véritablement, l’autre nous mettra en garde contre toute négligence. Padre PIO

LightInWay	Ecrit le: Samedi 22 Août 2015 à 14h16
Unregistered	Merci pour ton retour LeTigre. Oui, maître Philippe de Lyon était un vrai maître incarné, l'équivalent d'un grand yogi libéré en termes hindous. Il faisait des choses moins grandioses que Sai baba, mais de même que de grands saints, comme Padre Pio par exemple dans les saints récents, il disposait de nombre de capacités extraordinaires. Par contre j'étais persuadé qu'il y avait un sujet sur lui ici, et en cherchant, je ne l'ai pas trouvé. En fait je me souviens avoir alimenté un sujet sur lui de pas mal de choses; mais ça n'était peut-être pas sur ces forums, d'où la confusion. Du coup si j'arrive à mettre la main sur ce que j'avais mis je referai un sujet sur lui, il en mérite un à part entière; il y a beaucoup à dire. Avec Sai baba, on est un cran encore au-dessus.

alexismex	Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 02h34
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 90 Membre n°: 10336 Inscrit le: 22/04/2013	Merci pour toutes ces references j'ai aussi un portrait de Sai chez moi depuis plus de 25ans, toujours sa presence , et des temoignages directes de ma soeur qui l'avait visite deux fois a l'ashram ...sa presence a plusieurs dizaines de metres te faisait fondre literalement dans la compassion et l'amour Divin , ton coeur explosait de bonheur ...difficile a decrire.... Alexis.

Togusa	Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 08h03
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 258 Membre n°: 9939 Inscrit le: 30/08/2010	Bonjour, meme si bien sur je ne saurais remettre en question son humanité, pour le reste je ne voie que des tours de passe-passe: https://www.youtube.com/watch?v=0J0CFOdq09Q https://www.youtube.com/watch?v=t5te_ei-Nqo

LightInWay

Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 08h27

Unregistered

Citation (Togusa @ Dimanche 23 Août 2015 à 08h03)

Bonjour, meme si bien sur je ne saurais remettre en question son humanité, pour le reste je ne voie que des tours de passe-passe:

https://www.youtube.com/watch?v=0J0CFOdq09Q
https://www.youtube.com/watch?v=t5te_ei-Nqo

Je t'encourage à continuer à n'y voir que des tours de passe-passe; c'est une excellente chose. Tu as parfaitement cerné le tout, en ce qui te concerne.

Merci pour les liens vidéos, ça me fait penser que j'avais en effet oublié de mettre des vidéos dans ce sujet!

LightInWay	Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 09h37
Unregistered	Chaque année, a lieu une cérémonie durant laquelle la statue de Sai Baba de Shirdi (qui est sensé être l'incarnation précédente de Sathya Sai baba) est lavée, et sanctifiée par des chants, etc publiquement. Une partie de la cérémonie consiste en le déversement de vibuti (cendres sacrées) matérialisées par Sai Baba. Il recouvre partiellement la statue de Sai Baba de Shirdi de vibhuti à l'aide d'un pot tenu au-dessus tête en bas dans lequel il passe alternativement une main puis l'autre. Une autre: Bien sûr les habituels "debunkers" n'y voient là qu'un truc simple: de la cendre séchée et compactée dans le fond du vase et donc qui tient dans le fond avec le vase tête en bas, et c'est Sai Baba qui en grattant la cendre compactée avec ses mains l' fait tomber. Outre le fait que par exemple le Dr Chetteoui qui est allé sur place assister à l'une des ces cérémonies avait eu l'autorisation de voir le vase juste avant l'office de l'année où il y était allé, et qu'il était totalement vide, l'ayant sous les yeux jusqu'au versement par Sai Baba, c'est aussi l'ignorance que les cendres, une fois la cérémonie finie, sont récoltés et que la mesure du volume recueilli dépasse de plusieurs fois le volume du vase plein (Chetteoui l'avait fait, et plusieurs occidentaux ayant écrit des livres l'ont fait aussi; mesurer le volume de vibhuti recueilli) Mais bon quand on ne veut pas, on ne compte pas Donc en voilà une jolie pour le regard.

LightInWay	Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 09h56
Unregistered	Matérialisation d'Amrita (un liquide au goût extatique semble-t-il, que Sai Baba a matérialisé plusieurs fois) à partir de médailles matérialisées par Sai Baba, chez des dévôts; on voit qu'au fur et à mesure que l'Amrita coule de la médaille dans la main posée en creux, et est enlevé à la cuillère, il continue à couler de nouveau et à remplir la main, plusieurs fois de suite:

LightInWay	Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 10h06
Unregistered	Intéressant aussi, la matérialisation d'objets lorsqu'il a les manches relevées. Dommage que la seule vidéo que j'aie pu trouver soit une compilation rapide avec des coupures de la cérémonie du abhishekam (déversement de cendres sur la statue). La cérémonie dure peut-être au moins 30min en tout et donc cette vidéo de 4min est un montage par coupure de scènes intéressantes provenant du site de streaming de Prasanthi Nilayam en ligne. Le monteur a débuté une scène à une matérialisation de médaille en or au temps 0:40s mais il aurait été plus intelligent pour tous qu'il démarre cette coupure quelque secondes avant, qu'on voie bien la main de Baba avant la matérialisation, ce qui a été le cas de ceux présents çà la cérémonie. Mais cela montre bien les matérialisations manches relevées dont parlait Howard Murphet et Samuel H. Sandweiss ou bien encore d'autres: Donc, on a le début de cette matérialisation, manque les secondes d'avant. On a les coupures permettant de vori la scène du déversement lui-même des cendres.

LightInWay	Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 10h13
Unregistered	Cette vidéo ancienne montre une des choses que Howard Murphet décrit pour y avoir assisté: Sai baba matérialisant des statues et autres objets sortant du sable après avoir fait couler un petit monticule de sable. Les choses intéressantes décrites par Murphet sont que Sai Baba demande à ses accompagnants de lui construire sur le sable une petite plate-forme de sable de 30cm de haut. Les gens poussent le sable alentour pour faire un tas qu'ils aplatissent. Murphet en a fait partie, et il était heureux de la chose, se disant qu'ainsi Sai Baba ne pourrait pas utiliser des objets enfouis dans le sable au préalable à moins de 30cm car le sable venait d'être sur-élevé de 30cm. Il décrit ensuite comment Baba dessine sur le sable un motif, puis verse un petit tas de sable sur le dessins, puis enfouissant deux doigts dans 2 à 3cm de profondeur dans le sable, en fait émerger des objets allant jusqu'à 30cm de haut. Ceci est bien sûr impossible par cache préalable d'objets au vu de la description donnée précédemment. Fait intéressant: les objets en métal ainsi sorties étaient parfois brûlants, car ils venaient d'être matérialisés, et c'est aussi un autre élément qui montre que ça ne peut pas être un objet caché, qui ne pourrait pas être brûlant... Voyez l'une des vidéos montrant ces choses là:

LightInWay	Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 10h34
Unregistered	Un collier matérialisé. Vidéo de pauvre qualité; mais en image par image (téléchargez la vidéo et regardez là par image avec VLC player par exemple); on voir la main à plat ne contenant rien lors des tours circulaires avant la matérialisation; et rien entre les doigts serrés lorsque la main est de profil. Le bracelet est matérialisé en bout de main: Voilà j'ai réparé l'oubli d'insérer quelques vidéos d'illustration des diverses choses évoquées auparavant!

LightInWay

Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 18h22

Unregistered

Sai Baba a manifesté depuis tout petit à la fois les dons de matérialisation et l'amour inconditionnel.

Il était végétarien strict dans une famille qui mangeait de la viande (et dans un village qui en mangeait). Il protégeait les animaux de toute forme de violence dès qu'il en voyait. Il donnait de la nourriture aux pauvres et aux mendiants qu'il allait chercher pour les amener chez lui afin de leur donner à manger sans l'autorisation de ses parents. Il se faisait punir à cause de cela et on lui dit que si il voulait donner à manger aux pauvres, alors ça sera sa part de nourriture qui serait donnée; Qu'à cela ne tienne, il décida de ne plus manger pour tout donner aux pauvres; mais il semblait quand même repu. Sa mère étonnée lui fit avouer qu'il mangeait de la nourriture qui lui était matérialisée, de plus des choses qu'il n'y avait pas à la maison, dont ils ont pu avoir preuve de présence. ET il donnait aux pauvres sa part de nourriture et leur en matérialisait quand il en manquait.

Il matérialisait quantité de choses pour ses copains, étant enfant: une gomme perdue pour un camarade de classe, des bonbons pour eux le pssu souvent, caractéristiques: ils étaient chauds comme sortis du four alors qu'il les sortait de sa poche à l'école après des heures de classe: il venait de les matérialiser.

Les 30 premières années étaient sa période de miracles selon Baba, les années suivantes celles de l'enseignement surtout (mais avec toujours des miracles de ci de là). De nombreux témoins des premières années parlent de matérialisations de nourriture pour nourrir une salle d'invités entier, venue d'un seul coup sur les tables, que tous ont mangé; des arbres où chacun choisissait le fruit qu'il voulait et baba les matérialisait dessus: sur le même arbre il y avait mangue, poire, orange, banane, etc pour chacun. Bref autant de choses bien sûr totalement infalsifiables.

Il a plusieurs fois donné un plat de nourriture à partager dont chacun se servait et qui pourtant ne se vidait jamais, même après un stock de convives servis, etc.

Durant sa période d'enseignement, il avait envoyé un groupe de 12 personnes (des disciples très éveillés) faire une retraite spirituelle pendant 8 à 9 mois et leur avait donné une jarre d'où chacun pouvait tirer de quoi manger midi et soir en plongeant la main dedans. La jarre a donné à manger au groupe d'une douzaine de personnes durant 9 mois:
http://www.spiritualiste.com/enseignement/...ufa-Ashram.html
http://www.lecoeurouvert.net/medias/files/...uffa-ashram.doc

Ici un témoignage d'une personne qui raconte avoir été là pendant la matérialisation de nourriture pour faire manger 25 personnes (en anglais):
https://www.youtube.com/watch?v=xlQ7XvzzfKw

Bref autant de choses totalement indéniables, indubitables, d'une évidence claire comme de l'eau de roche sur ses capacités de matérialisation réelles. Sans compter le nombre de guérisons effectuées en tous genres.
Vous pourrez lire les références et noms des témoins de ces histoires que je viens de résumer en quelques mots dans les livres que j'ai déjà cité.

Ce qui est caractéristique de sa mission qui du même ordre que celle du Christ, c'est qu'on pourrait citer un grand nombre de phrases des enseignements (car son travail essentiel était de passer des heures à discourir et enseigner aux foules, les "miracles" étant seulement des éléments pour attirer l'attention); et on pourrait croire que ces phrases sont extraites de discours du Christ d'il y a 2000 ans.

Ses enseignements son simples mais essentiels: ne jamais blesser, ne pas retenir le mal qu'on nous a fait, oublier le bien qu'on a fait aux autres, ne pas chercher les défauts des autres, c'est un péché; remercier celui qui nous a montré nos défauts, aimer tous, même et surtout ceux qui nous condamnent ou nous attaquent car ils le font par ignorance, et il faut prier pour que la lumière leur parvienne, etc.

Benjamin Creme qui a été plusieurs fois adombré par Sai Baba nous en donne une description:

Citation

Benjamin Creme disait souvent : « Saï Baba est l'Etre divin le plus réalisé qui honore cette planète de sa présence. »

Saï Baba et Maitreya travaillent ensemble pour la régénération du monde, incarnant tous deux la même énergie – Saï Baba, le principe christique au niveau cosmique, et Maitreya, le même principe au niveau planétaire. Lors des conférences publiques de B. Creme, Saï Baba et Maitreya adombrent ensemble B. Creme, montrant la connexion entre ces deux Grands Avatars.

D'après: http://www.partageinternational.org/revue_...274.php#anchor5

Sai baba, avatar cosmique, est un avatar de Vishnou selon la vision hindoue (Vishnou=force d'amour=Christ), c'est à dire la force christique, au niveau galactique; c'est à dire au niveau parent de la force christique qui est venue sur Terre. On parle bien de l'avatar, l'esprit qui a occupé le corps de Sathya Sai Baba; pas de l'individu qui a vécu ses vies comme le saint Kabir, puis Sai Baba de Shirdi, puis Sathya Sai Baba; mais de l'occupant cosmique qui a adombré l'occupant humain hautement avancé qui a travaillé avec lui. Cet avatar cosmique n'a pas eu d'incarnation sur Terre et se sert d'un incarné de haut niveau comme medium. C'est lui qui a enseigné et fait tout ceci.

Avant ses 13 ans, Sai baba enfant disait qu'une force extérieure à lui matérialisait pour lui. Puis il s'est passé quelque chose à ses 14 ans. Et ensuite il est devenu l'avatar pleinement occupé: il n'était plus l'humain avancé mais adombré par l'avatar et c'est là que sa mission a commencé.

Il ne faisait pas que parler, on a vu qu'il agissait dans ce sens. Et... il reviendra une dernière fois.

LightInWay

Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 18h51

Unregistered

Des extraits qui montrent ce que j'ai dit sur son enfance:
D'après: http://www.sadhana.ca/pdf_sathyam_v1.pdf

Citation

Il évitait les lieux où l’on tuait et torturait les
cochons, les moutons, le bétail ou les volailles,
ou encore les endroits où l’on pêchait; il se tenait à
l’écart des cuisines et de la vaisselle utilisées
pour la cuisson de la viande ou du poisson. Lorsqu’une
volaille était choisie et qu’on en parlait pour la
préparation d’un repas, le petit Sathyanarayana cou
rait vers l’oiseau, le prenait sur son cœur et le
caressait, comme si l’amour qu’il déversait sur lui
allait inciter les adultes à l’épargner et à le
relâcher.

À cause de cette aversion et de l’amour qu’il ressent
ait envers la création, il était appelé «
le Sage » par les voisins « brahmanjnâni ».
En de tels moments, l’enfant avait l’habitude de courir
vers la maison des Karnam car ils étaient brahmanes
et végétariens; il acceptait ainsi la nourriture
que lui offrait Subhama, la femme âgée qui y habitait.

Citation

Enfant déjà, Sathya était contre tous les sports et
jeux susceptibles de provoquer de la cruauté
ou de la douleur Lors du festival annuel connu sous
le nom du grand Ekadasi, il ne permettait pas à
ses camarades d’aller voir la course de chars à bœufs
qui se déroulait sur les rives sableuses de la
rivière, car il était opposé au tressage des queues
et aux coups de cravache et aussi parce que tout
cela ne servait que la vaine gloire du propriétaire.

Citation

Dès son plus jeune âge, vers 3 ou 4 ans, Sathyanarayana
se comportait comme s’il avait le
cœur touché par la souffrance humaine. Lorsqu’un mendiant
se présentait à la porte et criait
famine, Sathya interrompait ses jeux et accourait
pour obliger ses sœurs à partager les céréales ou
la nourriture préparée. Les adultes évidemment s’irritaient
de ce défilé incessant de mains tendues;
ils se fâchaient et parfois chassaient le mendiant
avant que Sathya n’ait pu lui apporter un
quelconque soulagement. Cela faisait pleurer l’enfant
si longtemps et si fort que les parents étaient
obligés de ramener le mendiant pour faire cesser ses
pleurs. Quelquefois, afin de mettre un frein à
ce que les adultes appelaient « une charité coûteuse
et déplacée », la mère saisissait l’enfant et le
doigt levé en signe de remontrance, lui disait
« Regarde! Tu peux lui donner de la nourriture, mais
toi tu devras rester affamé! » Cela n’arrêtait pas
l’enfant; il courait à l’intérieur de la maison et
rapportait de la nourriture au mendiant à la porte,
et s’abstenait lui-même de déjeuner ou de dîner.
Rien ni personne ne pouvait le persuader de prendre
son assiette, à laquelle il ne touchait pas.

L’enfant semblait avoir un mystérieux visiteur qui
le nourrissait! Car lorsqu’il renonçait à manger
et qu’il persistait dans ce refus pendant plusieurs
jours, ni ses mouvements, ni son activité ne
montraient de signes d’affaiblissement. Il affirmai
t également avoir déjà mangé, disait sa mère
Easwaramma. Il disait qu’un vieil homme sage l’avait
somptueusement nourri en lui donnant une
boule de riz au lait. Son estomac bien rempli en témoignait.
De plus, l’enfant souhaitait en donner
une autre preuve évidente. Il tendait la main droit
e vers sa mère pour qu’elle la renifle, et dans cette
petite paume elle pouvait sentir une odeur de beurre,
ou de lait caillé, mais d’une qualité qu’elle ne
connaissait pas jusqu’alors. L’étonnement demeurait.

Qui donc était ce visiteur invisible, l’étrange
nourricier de ce petit enfant?
Lorsque Sathya commença à trotter dans les rues, il
recherchait les handicapés, les aveugles,
les personnes âgées et les malades, et les prenant
par la main, il les amenait dans la maison de ses
parents. Ses sœurs devaient trouver dans le garde-manger
ou dans la cuisine, les céréales et la
nourriture pour remplir le bol du mendiant, pendant
que le « petit maître », ravi, regardait.

Citation

« Il fut mon élève jusqu’en huitième, rapporte B. Subbanachar
dans un livre publié en 1944, en
tant qu’élève il était simple, modeste, honnête et
bien éduqué ». « Modeste »! De quelle maîtrise
Baba n’a-t-il pas dû faire preuve pour masquer ses
multiples pouvoirs divins, avant que le monde
ne soit prêt à leur révélation? V.C. Kondapa, autre
enseignant, qui par la suite a révéré son élève en
tant qu’Avatar divin, dit aussi dans le même ouvrage
«Il était simple et obéissant. Il ne parlait
jamais plus qu’il ne le fallait. Arrivant un peu pl
us tôt que ses camarades à l’école, il avait habitude
de rassembler les enfants devant une image sainte et
avec les fleurs qu’il avait apportées, il
conduisait cérémonie rituelle, effectuait une offrande
à la lumière (âratî) et leur distribuait de la
nourriture consacrée. Les enfants l’entouraient pou
r recevoir tout ce qu’il « sortait » de son sac
vide. Lorsqu’on l’interrogeait à ce sujet, il répondait
qu’une certaine aïeule Shakti obéissait à sa
volonté et lui donnait ce qu’il souhaitait. »

Note: Shakti, désigne en hindou la puissance de l'esprit, qui permet d'obtenir ce qu'on appelle les miracles; c'est ce que les chrétiens appellent aussi "le saint-esprit".

Citation

Un de ses instituteurs fit l’expérience, un jour, de
la puissance de cette « aïeule Shakti ».
Habituellement, Baba semblait insouciant en classe,
principalement concerné par la composition
de chants sacrés qu’il recopiait et distribuait
ensuite à ses compagnons de classe. Un jour,
l’instituteur se rendit compte que Sathya n’écrivait
pas ce qu’il lui dictait. Il pensa alors qu’il
donnait le mauvais exemple à toute la classe et cria:
« Tous ceux qui ne prennent pas de notes,
levez-vous. » Sathya fut l’unique coupable. Il lui
demanda pourquoi il ne prenait pas de notes.
Sathya répondit innocemment et d’un ton direct:
« Monsieur, pourquoi écrirais-je? J’ai compris ce
que vous avez dicté. Posez-moi toutes les questions
que vous voulez et j’y répondrai correctement.
» Mais la fierté de l’enseignant était piquée au
vif et il pensa que le jeune garçon devait subir une
punition. Il ordonna donc que Sathya se tienne debout
sur son banc et y reste jusqu’à ce que la
cloche sonne la fin des cours. Ce jour-là sur les bancs
de l’école, aucun garçon ne se sentit heureux,
puisque dans la même salle qu’eux, leur « Gourou »
devait se tenir en équilibre inconfortable sur
un banc. La sonnerie de fin de cours retentit et le
professeur suivant entra.

Il s’agissait de Janab Mahbub Khan, qui aimait et
respectait le jeune Sathya, plus que les mots
ne pourraient l’exprimer. Encore maintenant, Baba fait
l’éloge de cet enseignant et le considère
comme une âme hautement évoluée. Il enseignait l’anglais;
sa méthode et son approche
pédagogique étaient très sérieuses et si attrayantes
qu’il semblait que chaque enfant connut
parfaitement sa leçon. Vieux célibataire, il avait
pour Sathya une grande affection, rappelant celle
du fakir envers Shirdi Sai.

Il offrait des douceurs et des gâteaux à l’enfant.
Il disait que sa maison avait été spécialement
nettoyée pour la préparation du plat, car il savait
que Sathya ne mangerait rien qui aurait eu le
moindre contact avec des nourritures non végétariennes.
Il disait que lui-même n’avait pas encore
mangé, car il voulait que Sathya ait la première part.
Il restait assis durant de longs moments,
caressant les cheveux de Sathya en méditant à voix
basse: «Oh Sathya, tu es un merveilleux
garçon. Tu aideras des milliers d’êtres, tu possèdes
un grand pouvoir », ou d’autres paroles de ce
genre.

Lorsque Mahbub Khan entra dans la pièce ce jour-là,
il fut choqué de trouver Sathya debout
sur le banc, et l’enseignant toujours assis sur sa
chaise. Il lui demanda pourquoi il n’avait pas quitté
son siège. Ce dernier lui chuchota que Lorsqu’il se
levait, sa chaise se levait aussi; en fait, elle était
collée à lui. Il ne comprenait ni le comment, ni le
pourquoi. Son chuchotement fut compris par les
garçons qui se mirent rire de la situation de leur
professeur et dirent que cela devait être dû au jeu
« magique » de Sathya. L’instituteur aussi s’en doutait
et Mahbub Khan le lui confirma. On manda
alors à l’enfant de redescendre du banc, et immédiatement
la chaise du professeur tomba; il put
alors se mouvoir librement! Des années plus tard, en
racontant cette histoire, Baba explique qu’il
voulait qu’il en soit ainsi non par colère envers
l’enseignant, car il n’avait aucune colère en lui, mais
uniquement afin de montrer qui il était, et de préparer
graduellement l’esprit des hommes à
l’annonce de sa mission et de son identité.

LightInWay	Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 18h58
Unregistered	A ceux qui se sont dits qu'il y a 2000 ans ils auraient bien voulu être là pour voir ce que le Christ faisait, il y a des choses à dire: * Il y en a eu qui est venu faire la même chose à cette époque * Il n'a pas été connu publiquement en occident, alors vous pensez qu'il n'a pas pu exister à ce niveau là. Pensez-vous que tous ont reconnu le Christ à son époque? Il a été accusé de luxure avec les prostituées et les païens, taxé de charlatan faiseur de tours de magie. Les mêmes qu'il y a 2000 ans sont là; les mêmes qui d'ailleurs se disent que si c'était vrai ils le sauraient... * Il va revenir une troisième fois, alors certainement qu'il faudra savoir attendre au moins 20 ans avant qu'il ne soit assez grand pour prendre sa mission, mais pour ceux qui sont intéressés, il restera une occasion!

BlueDragon	Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 19h37
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 3939 Membre n°: 10047 Inscrit le: 07/11/2011	Justement c'est ce que j'étais en train de penser, car à la lecture de ce fil, du bouquin en cours, je pense qu'un voyage en Inde va s'imposer de lui même pour voir cette future personne. Problème : celà va être compliqué d'avoir des informations fiables de là bas, car je ne m'y attendais pas, mais l'inde est vraiment vaste et les nuances de gris sont nombreuses. En voyant Sai Baba et les devots, j'étais très loin de m'imaginer celà, j'ai ressentit un vrai bouillon de culture avec des côtés malsain (difficile d'expliquer mon ressentit). Je regrette de n'avoir eu connaissance de cet homme auparavant, car je pense que j'y aurai fait un saut avec une autre personne qui aurait eu le même objectif (je n'aime pas voyager seul en pays inconnu, mais ne refuse jamais de tenter de nouvelles découvertes). J'espère que dans 20ans, mon ambition ne changera pas, que mon ego aura diminué encore, et que je trouverai les personnes intéressées par un voyage là bas. -------------------- « No matter where you are, Look for the brightest star, Believe it is true, My soul is smiling at you", FastWalkers

surnaturel	Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 20h35
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 5107 Membre n°: 199 Inscrit le: 23/02/2007	Le mantra de la gayatri http://www.saibabaofindia.com/gayatri.htm signification http://www.worldwidelightcircle.net/french/signification.htm J'ai le disque et sa me fais quelque chose...

LeTigreFr	Ecrit le: Dimanche 23 Août 2015 à 21h57
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 3069 Membre n°: 10219 Inscrit le: 30/11/2012	Je complète suite à tes articles. Des paroles http://www.lecoeurouvert.net/pages/informa...e-sai-baba.html Une librairie en ligne http://www.lecoeurouvert.net/pages/informa...ctroniques.html Soyez comme Jésus http://www.sadhana.ca/pdf_soyezcommejesus.pdf -------------------- Supplions inlassablement Dieu d’accroître en nous deux vertus : l’amour et la crainte. Car l’amour nous fera courir sur les voies du Seigneur et la crainte nous incitera à regarder où nous posons le pied. L’un nous fera apprécier les réalités du monde pour ce qu’elles sont véritablement, l’autre nous mettra en garde contre toute négligence. Padre PIO

LightInWay	Ecrit le: Lundi 24 Août 2015 à 08h23
Unregistered	Merci pour les participations des uns et des autres à alimenter en retour d'expérience directe (alexismex) ou en documentation (LeTigre). @Bluedragon: si tu restes motivé et que je le suis encore aussi, dans 20 ans environ (si le monde et les situations le permettent) on pourra programmer d'y aller ensemble si tu veux, ça nous fera de la compagnie. Moi non plus je n'ai pas eu l'occasion d'aller le voir de son vivant. J'avais entendu parler de lui depuis un bon moment avant qu'il ne meurt (depuis jeune) et en fait pour tout dire j'avais prévu d'aller le voir 2 à 3 ans après la date de son décès (avant qu'il ne décède bien sûr), donc finalement l'herbe m'a été coupée sous les pieds.

BlueDragon	Ecrit le: Lundi 24 Août 2015 à 21h51
Expert(e) Groupe: Membres Messages: 3939 Membre n°: 10047 Inscrit le: 07/11/2011	En respect et en mémoire à ce grand homme, voici une musique qui plaira je l'espère Gavatri Mantra Translittération : Oṃ bhūr bhuvaḥ svaḥ tát savitúr váreṇyaṃ bhárgo devásya dhīmahi dhíyo yó naḥ pracodáyāt Traduction Om, Cieux, Terre et Eau, Que l'excellent Soleil, Brillant, divin et pieux, Nous aide à méditer sur nos intellects galopants. -------------------- « No matter where you are, Look for the brightest star, Believe it is true, My soul is smiling at you", FastWalkers

1 utilisateur(s) sur ce sujet (1 invités et 0 utilisateurs anonymes)

0 membres:

« Sujets + anciens | Spiritualité | Sujets + récents »

Pages: (4) 1 [2] 3 4

[ Script Execution time: 0.1185 ] [ 12 queries used ] [ GZIP activé ]