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> Sai Baba - avatar
Ecrit le: Lundi 24 Août 2015 à 23h05 Posted since your last visit
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J'ai oublié de dire ce que j'ai bien entendu dans un des discours de sai baba peu avant sa mort. Il a donner le différence entre adoration, contemplation et méditation.

En disant que la divinité descend via les avatars dans le monde physique cela provoque :

l'ADORATION  qui est la vénération de la manifestation physique, du corps de l'incarnation dont la présence reelle donne la joie

puis la CONTEMPLATION qui est la veneration de l'essence divine à l'intérieur de ce corps toujours vivant

puis une fois ce corps décédé, il faut parvenir a conserver dans son coeur la présence de la divinité, exactement comme si elle était toujours à nos cotés dans son incarnation physique. Ceci est le plus difficile a conserver et il faut y arriver de façon permanente. Cela s'appelle la MEDITATION et elle doit devenir permanente.

ADORATION = celle du corps physique divin
CONTEMPLATION = celle du l'esprit divin dans un corps incarné
MEDITATION = conserver cet esprit divin en soi dans notre coeur meme une fois l'avatar decede dont plus present physiquement



--------------------
Supplions inlassablement Dieu d’accroître en nous deux vertus : l’amour et la crainte. Car l’amour nous fera courir sur les voies du Seigneur et la crainte nous incitera à regarder où nous posons le pied. L’un nous fera apprécier les réalités du monde pour ce qu’elles sont véritablement, l’autre nous mettra en garde contre toute négligence.

Padre PIO


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Ecrit le: Samedi 24 Octobre 2015 à 13h29 Posted since your last visit
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J'ai terminé le livre "SAI BABA, L'homme des miracles", écrit par Howard Murphet en 1971 et édité en France en 1994 (ISBN 2-904616-90-X).
Ce livre est très intéressant, merci LightInWay, c'est un bon choix. L'avant dernier et le dernier chapitre de ce livre, sont très intéressant, car l'auteur, qui a vécu et suivi sai baba durant quelques années, a put donner des phrases dites et très chargées en signification et vérité.
Je passerai outre les passages concernant les siddhis ou les materialisations, car ceci n'est pas ce qui m’intéresse le plus, bien que cela soit toujours agréable à lire. Dans ce livre, beaucoup de sagesses sont disséminées, avec deux chapitres plus significatifs sur l'enseignement de Sai Baba en fin d'ouvrage. Quelques passages m'ont particulièrement marqués, les voici :

"Mais n'y a-t-il pas un enseignement spécial et des exercices de yoga qui peuvent aider les hommes à échapper à l'étreinte des séductions du monde, à tourner le dos à tout ce clinquant, afin de se diriger vers la lumière éternelle ? Dans ses discours, Baba fait souvent allusion aux trois chemins classiques du yoga qui mènent à la Réalisation du soi : le Karma yoga, ou yoga de l'action, le jnâna yoga, ou yoga de la sagesse, et le Bhakti Yoga, ou yoga de la dévotion. il fait remarquer qu'on doit les utiliser tous les trois. Ce sont les trois voies parallèles de la grande-route menant à Dieu*"

(Note de BlueDragon : Dieu n'est pas une entité au sens commun occidental ou au sens arabe du terme, il s'agit du tout, de ce qui unifie et qui lie tout être en ce monde, qui fait partie intégrante du tout et qui se retrouve dans tout. Chaque homme est ainsi Dieu et Dieu est chaque homme, et l'homme a pour mission de se reconnecter avec son Soi Divin qui est toujours et sera toujours présent à tout instant, au fond de lui même).
(Note 2 de BlueDragon : Sai Baba insiste pour équilibrer les trois voies, bien que ce ne soit pas écrit noir sur blanc : ces voies sont dites complémentaires, et s'équilibrent mutuellement. Ainsi la connaissance doit servir à équilibrer la dévotion, et la sagesse doit permettre d'ajuster le tout. Ainsi la sagesse ne peut exister sans une dévotion et une connaissance équilibrée, sinon elle ne reposerait sur rien de concret. Tout déficience, ou surexploitation d'un des attributs entraînerait donc, une déviation (et déviance) sur la route du chemin à parcourir. C'est clairement ce que l'on voit aujourd'hui dans notre monde : les dogmatiques, ont l'attribut connaissance très développé, mais sans dévotion, et avec une sagesse très faible. Les illuminés, ont une dévotion très poussée mais peu ou pas de connaissance, couplé à une déficience sur la sagesse. La sagesse ne peut se construire que sur la connaissance et la dévotion, et c'est celle qui permet également d'équilibrer ces attributs : tout est interdépendant !).

"Baba dit : 'Basez vos actes sur la connaissance que tout ce qui existe ne fait qu'un. Remplissez vos actions de Bhakti, c'est à dire d'humilité, de compassion, de non-violence. Faites en sorte de cette Bhakti soit renforcée par le savoir, autrement elle serait trop légère, tel un ballon qui se laisse entraîner par n'importe quel courant d'air, par n'importe qu'elle brise. Le simple savoir peut rendre le coeur sec; le Bhakti Yoga donnera à vos mains quelquechose à faire, ce qui sanctifiera toutes les minutes qui vous sont accordées'".

"Baba répètre souvent: 'Tout se trouve en vous. Essayez d'écouter en dedans de vous même et suivez les directives de ce guide interieur'".

Une spéciale dédicace, page 330 "Baba dit : 'Je suis venu en réponse à l'appel des sages, des saints et des chercheurs de vérité, afin de restaurer le dharma'".

Je noterai toutefois quelques points particulièrement intéressant :

  • il existait avant sathya sai baba, sai baba de shirdi. la différence ? aucune, c'est la même incarnation, mais avec des objectifs différents. je ne m'étendrai pas sur le sujet, tout est décrit dans le livre. La troisième incarnation arrivera dans quelques dizaines d'années (voir précédents posts)
  • Sathya Sai Baba indique bien que les religions, quelqu'elle soit, ne sont que des guides et des aides qu'il faut dépasser. Il a fait notamment un travail important en inde pour réconcilier la partie hindoue et musulmane, afin qu'aucun ne se fourvoie dans la vérité telle qu'elle doit être, et non pas telle qu'elle est déformée et manipulée par les temples.
  • Toutes les vérités ont toujours été dite, dès l'origine, et ont toujours existé. Les védas, notamment, portent toute les vérités depuis l'aube des temps, mais l'homme prend du temps à s'élever et à les intégrer pleinement. Certains hommes profitent notamment de cet effet de lenteur et de difficulté d'élévation ou d'intégration des vérités pour les déformer et les rendre très sectaires, où seul une élite disposerait d'une vérité (mais qui au final ne sera jamais la vérité)


Merci pour ce livre, à l'auteur pour son écriture fluide et simple, et à LightInWay pour me l'avoir fait découvrir. La particularité, même s'il s'agit d'un théosophe, est que l'auteur fait partit clairement de ces chercheurs de vérité, qui étudient, ont l'ouverture d'esprit et travaillent sur eux même, car ils savent que la route est longue. C'est donc avec grand plaisir que j'ai put lire un livre qui ne ressemblait en rien à ces torchons ésothériques que l'on peut trouver, qui vous bourre le mou de toute chose imaginaires et incompréhensible, sans sentir à un seul moment une mise en question de l'auteur. Là, pour le coup, c'est bien un occidental qui a écrit le livre, et j'en suis très content car celà rend très interessant la lecture.

Bonne journée,


--------------------
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Ecrit le: Samedi 24 Octobre 2015 à 15h14 Posted since your last visit
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avatar merveilleux .
mais ne vous attachez pas aux miracles , chaque vie est un miracle en Soi .
Oui l Inde est magique . Certains n y voient que misere , violences (et oui aussi) gurus interesses sectes (oui aussi) etc..
J ai vecu quelues temps dans un ashram , avec meditations jours et nuits , un etat permanent en fait . Oui , beaucoup de choses , de visions etc, de voyages interieurs fascinants.
Cet ashram etait dans un quartier tres pauvre de New Delhi , sale a vomir , des odeurs permanentes d egouts etc..MAIS des regards d une intensite , des communications extra sensorielles , un bain d energie epoustouflant .

Merci LightInWay . mon centre physique de meditation se fait sur le 3eme oeil et la lumiere justement . Il peut aussi se faire sur le son interne . Certains mantras m ont ete donne , afin de ne pas perdre le fil et d occuper le mental en l endormant grin.png . L energie du prana , oui enorme bien sur , mais il faut d abord en etre digne . Tout cela est tres bien expliquer dans ces livres . Voyez au dela des miracles , sentez  l avatar , ne pas se sentir elu non plus . Entrez dans ce bain de fusion , sans vouloir , sans rien demander ..juste ETRE attentif .     
 
 
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Ecrit le: Vendredi 30 Octobre 2015 à 08h10 Posted since your last visit
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Content que le livre t'ait plu BlueDragon. Il est en effet pour moi le meilleur à lire par un occidental sur le thème de Saï baba, parmi ceux que j'ai pu lire.

J'avais dit que je ne mettrai plus d'extrait de ce livre tant que tu n'aurais pas fini de le lire, car ça te gâchait un peu la surprise, je remettrai quelques extraits intéressants maintenant que tu l'as fini.

Content aussi que le thème serve à quelques uns et qu'ils y aient trouvé des choses utiles pour eux. Content pour ceux qui n'y ont rien trouvé d'utile pour eux et que cela n'intéresse pas; à chacun en son temps.
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Ecrit le: Vendredi 30 Octobre 2015 à 09h17 Posted since your last visit
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Sans plus approfondir, je trouve qu’il y a trop d’obscur autour de cet homme habile qu’est Sai baba.
 
Par exemple, Robert Priddy fut le leader national de l'organisation de Sai Baba en Norvège, il a dédié un site pour remettre les pendules à l’heure.
https://robertpriddy.wordpress.com/
 
L’humilité d’un Maharshi Ramana déjà évoqué sur le forum, convient mieux à ma personnalité et me parait plus juste dans la lumière.
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Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2015 à 01h51 Posted since your last visit
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Toujours des mauvaises langues se réveillent, c'est normal  l'obscurité règne sur la terre, il faut détruire coûte que coûte.... la lumiére ; que cela soit des sages comme SaiBaba , Dalai Lama  etc.... tant fait pas le tour viendra aussi au Marharshi Ramana....pareil pour " les restaurants du coeur" Coluche et tant d'autres....
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Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2015 à 08h13 Posted since your last visit
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En raisonnant ainsi, j’imagine qu’il faut intégrer Gilbert Bourdin https://fr.wikipedia.org/wiki/Aumisme,
ou Ron Hubbard https://fr.wikipedia.org/wiki/Scientologie au rang de guide de lumière. icon_wink.gif
 
Nous sommes tous en route vers la lumière mais n’y sommes pas et c’est avec cela que nous jugeons celui qui est dans la lumière.
Nous nous en faisons une idée mais ne savons pas clairement ce qu’est la lumière, nous ne la vivons pas H24.
Donc je ne vais pas m’étendre sur le sujet ne m’estimant pas apte à parler publiquement au nom de la  lumière.
 
J’ai effectivement vu des propos désobligeants à l’encontre du Dalaï Lama, rien sur Coluche à priori, il faut être patient  icon_wink.gif
J’ai juste envie de dire que nul homme n’est parfait, que l'on juge a partir de son point de vu qui reste partial, que la lumière est partout pour qui sait la voir, et que certains hommes imitent bien l’idée que l’on se fait de la lumière et arrivent à duper leur monde, en se dupant eux même, sans doute.
La difficulté est de discerner le vrai du faux dans tout cela.
Peut être que je me trompe mais je ne sens pas Sai Baba, trop dans l’ostentation pas assez dans l’humilité.
 
Une question que l’on pourrait se poser est pourquoi avons-nous besoin de guides ?
 
Citation
C’est la confusion de notre esprit qui nous pousse à choisir un guide politique ou spirituel. 
Et pour cette raison, la confusion n’est pas moindre chez la personne élue que chez nous-même.
Nous voulons être flattés et consolés. Nous demandons à être encouragés et récompensés.
C’est pourquoi nous choisissons pour instructeur celui qui nous donne ce que nous désirons.
Nous ne cherchons jamais la vérité, parce qu’au fond, nous sommes assoiffés de reconnaissance et d’impressions.
En nous offrant un maître, nous rendons un immense service à notre moi et à sa tendance à l’auto-glorification, car ce moi se noierait dans la peur et la confusion s’il prenait conscience de sa vanité.
Quelqu’un de l’extérieur, aussi éminent fût-il, peut-il faire quoi que ce soit pour que l’on devienne intérieurement un autre ?

Je modérerais ce propos de Jiddu Krishnamurti par le fait que selon d’où on part, une aide extérieure est nécessaire pendant un temps, ce qui ne retire rien au caractère absolu de son propos. Selon lui devenir intérieurement un autre est une mutation, un être sans ego, évidemment inaccessible à l'ego. 
Et ça reste  l'ego qui cherche la lumière...icon_wink.gif
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Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2015 à 14h28 Posted since your last visit
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Citation (eclectron @ Samedi 31 Octobre 2015 à 08h13)
La difficulté est de discerner le vrai du faux dans tout cela.

Peut être que je me trompe mais je ne sens pas Sai Baba, trop dans l’ostentation pas assez dans l’humilité.

En lisant tout ce qui a été mis en terme de témoignage il est facile de faire le tri pour voir ce qui est vrai. On ne voit que si on cherche à regarder.

Saï Baba est en effet dans l'ostentation. C'est son rôle, il est incarné comme avatar; pas comme apprenant de la vie sur Terre venant faire son chemin d'évolution. Sa partie humain, l'homme de la Terre qui a atteint le stade de la libération et du maître était le Saint Kabir (ayant atteint la libération au 15ème siècle, 4ème initiation puis peu après la maitrise), il s'est incarné comme maitre ayant fait pacte avec une conscience supérieur comme Saï Baba de shirdi. La conscience avec laquelle il a pactisé comme avatar est celle ayant occupé l'avatar Krishna (conscience appelée Shiva et Shakti) et qui a été investie dans des pactes d'avatarat avec des humains de niveau de maitre au minimum en Inde depuis plusieurs millénaires (au moins 8000 ans). Il a conclu ce pacte pour 3 incarnations, comme Saï Baba de Shirdi, Saï baba Sathya (celui dont parle ce sujet) et le prochain Saï Baba qui devrait s'incarner d'ici 3 ou 4 ans. La conscience avec laquelle il a fait le pacte d'avatar est appelé Shiva dans sa composante mâle et Shakti dans sa composante femelle (question de polarités énergétiques) et il s'incarne une fois avec une polarité (1ère vie) une fois avec les deux polarités équilibrées (2ème vie, celle de Sathya) et l'autre fois avec l'autre polarité (3ème vie à venir).

Le niveau de conscience du divin où est situé cette conscience qui se présente comme Dieu pour nous est inconnu de nous (car Dieu est un, tous ses niveaux de conscience sont Dieu, de même que nous le sommes, mais inconscients de l'être à notre niveau, ce qui fait la différence)

Un avatar est un être qui a dépassé le niveau d'incarnation sur Terre et a fait un pacte avec des consciences d'un niveau encore largement supérieures au sien pour venir servir d'enseignant spirituel sur la Terre, étant soit une partie du temps chaque jour, soit une partie de sa vie complète "occupé" par cette conscience supérieure qui "l'adombre", c'est à dire utilise ses corps d'énergie et physique pour s'exprimer.

Le rôle prévu est donc d'enseignement spirituel en montrant qu'on peut prendre la voie du Maître qui mène au divin tout en état humain; et c'est VOLONTAIREMENT qu'un avatar est ostentatoire, c'est on pacte de vie. Croire le contraire c'est ne rien connaître des avatars.

Un avatar est en général un libéré au minimum (4ème initiation) ou un maître (5ème initiation ou 6ème) ou un être ne venant pas de l'évolution humaine (niveau strictement supérieur à la 6ème initiation) qui a conclu un pacte.

Dans l'humanité il y a eu Krishna, qui était un avatar (5ème initiation) typique du niveau minimal des avatars; mais il y a eu Jésus Christ qui était un libéré (4ème initiation) et avatar; cas rare d'avatars ayant fait pacte avec un humain n'ayant pas encore atteint le stade de maître. Il a comblé cette lacune en étant enseigné une grande partie de sa vie (durant 30 ans) pour comprendre pleinement ce que signifiait ce pacte dans lequel il allait être investi et les enseignements spirituels qui lui manquaient de sources d'enseignement egyptiennes ou hindoues de grands yogis et enseignants spirituels occultes. Il a pris sa 4ème initiation dans la grande pyramide de Cheops semble-t-il, durant sa phase d'enseignement, lorsqu'il a reçu l'esprit du Christ en lui (une portion de la conscience supérieur solaire ayant fait pacte avec lui). Et c'est à partir de là qu'il est devenu Jésus Christ et avatar, pas avant.

Le Christ en tant qu'avatar devait se faire connaître comme envoyé divin. C'est la même chose pour Saï Baba. Le contraire serait renier le pacte; car l'avatar vient enseigner l'humanité en lui disant que le divin peut être vivant sur Terre, montrant que divin et terrestre physique ne sont pas incompatibles, et expliquant comment faire pour suivre le même chemin. C'est le divin qui montre qu'il est divin et doit être reconnu comme tel pour montrer aux humains que le divin peut s'exprimer dans la dimension physique et enseigner.

Citation
Une question que l’on pourrait se poser est pourquoi avons-nous besoin de guides ?


Citation
C’est la confusion de notre esprit qui nous pousse à choisir un guide politique ou spirituel. 
Et pour cette raison, la confusion n’est pas moindre chez la personne élue que chez nous-même.
Nous voulons être flattés et consolés. Nous demandons à être encouragés et récompensés.
C’est pourquoi nous choisissons pour instructeur celui qui nous donne ce que nous désirons.
Nous ne cherchons jamais la vérité, parce qu’au fond, nous sommes assoiffés de reconnaissance et d’impressions.
En nous offrant un maître, nous rendons un immense service à notre moi et à sa tendance à l’auto-glorification, car ce moi se noierait dans la peur et la confusion s’il prenait conscience de sa vanité.
Quelqu’un de l’extérieur, aussi éminent fût-il, peut-il faire quoi que ce soit pour que l’on devienne intérieurement un autre ?

Je modérerais ce propos de Jiddu Krishnamurti par le fait que selon d’où on part, une aide extérieure est nécessaire pendant un temps, ce qui ne retire rien au caractère absolu de son propos. Selon lui devenir intérieurement un autre est une mutation, un être sans ego, évidemment inaccessible à l'ego.

Krishnamurti est devenu un libéré à la fin de sa vie, peu avant de mourir; il ne l'a pas été durant sa vie. Il a erré comme un des nôtres plus avancé certes, mais un humain à la recherche du divin, même pas un libéré et encore moins un avatar. Il a refusé les enseignements après les avoir recherché d'abord avec ferveur; il venait d'ailleurs voir Ramana Maharshi pour lui demander comment se libérer; il était au-dessous de ce niveau. Ramana Maharshi qui lui a reconnu Saï Baba comme un avatar de niveau cosmique devant lequel il s'inclinait.

Krishnamurti était au-dessus des 99,999999% de l'humanité (et de nous), mais un piètre enseignant car il enseignait des choses convenables seulement pour des gens ayant atteint l'état dans lequel il était. Il était comme ces mathématiciens géniaux capables de vous démontrer des choses les plus folles, vivant retirés du monde, incapables d'enseigner les plus jeunes à apprendre et suivre un chemin qui les mènerait au même chemin que lui. On peut en effet être très bon tout en n'étant pas pédagogue, ne sachant pas enseigner. En effet il n'était pas venu pour ce faire. Son oeuvre pourra servir utilement à un initié du 3ème degré pour finir son travail jusqu'à la libération. Ceux qui croient suivre sa voie comme le moyen d'arriver au but ignorent totalement le niveau où ils sont situés, ignorent même la notion d'initiation et de niveau; croyant que la baguette magique oeuvre et transforme un bon humain standard peu évolué en un libéré si il a la bonne pensée. Le problème est que ça ne marche pas ainsi, il y a des centaines de vie (ou des dizaines pour l'humain un peu plus avancé) entre son état actuel et la libération et ce n'est que l'ignorance d'un système progressif et l'ignorance du processus évolutif qui fait que le lambda pense qu'en suivant la voie untel il peut obtenir la même libération que untel qui l'a obtenu, car il ne sait pas que si untel a eu sa libération soudainement, la voie qu'il a suivi dans cette vie n'est en rien un modèle pour produire la même chose dans notre vie, car le lambda ne sait pas voir que untel a peut être vécu 700 vies et lui seulement 300 vies et que même si les uns peuvent avancer plus vite que les autres il peut lui en manquer un sacré paquet. Encore une fois c'est l'ignorance qui fait que certains croient qu'on peut aller au but directement sans intermédiaires progressifs.

Krishnamurti ne savait pas non plus qu'il existait ces intermédiaires, en fait si il l'avait su mais rejeté ces faits, voulant faire croire aussi bien à lui qu'aux autres qu'avec une pensée juste (ou une absence de pensée juste) on se libérait comme ça sans coup férir. Même Maharshi a indiqué qu'il existait les étapes d'évolution et d'initiation, que celui qui appliquait sa patience à faire le travail spirituel d'arrache-pied toute sa vie pouvait à le faire encore plusieurs vies avant d'arriver au but, la libération.

En pratique on commence à avoir un intérêt spirituel dans les cinquante dernières vies, sur une moyenne de 500 vies humaines pour arriver à la libération; donc dans les 10% derniers. Souvent les gens dans de tels cas (qui s'intéressent à la spiritualité) croient qu'ils obtiendront leur but en quelques années, en tous cas avant la fin de leur vie, avec illusion. 50 vies ce n'est pas 1 vie. Personne ne peut dire pour un individu en particulier si il est arrivé quasiment au bout et finira ce travail dans sa vie ou dans 20 vies seulement. L'illusion des masses qui s'intéressent à ces sujets est de se croire toujours assez supérieurs (tout en mettant leur modestie et humilité en avant publiquement) pour croire qu'ils sont au bout du bout. Pour certains (1 sur 1 million) c'est vrai, pour les autres pas. La statistique veut que tous ceux qui sont sur ces forums fassent partie des 999 999 autres et donc leur voie n'est pas celle qui est utile au 1 sur 1 million. C'est comme le loto: vous en voyez un gagner, alors vous vous dites "moi aussi je peux", et vous cherchez la recette, sauf que ce n'est pas le loto mais le résultat d'un cumul évolutif sur des centaines de vie et que vous ne connaissez pas votre propre barre de progression (aussi bien pour ne pas être découragés dans de nombreux cas que pour ne pas devenir prétentieux pour certains rares cas plus évolués). Alors vous rêvez...


Les propos de Krishnamurti sur la non nécessité des guides n'est en rien un bon enseignement pour ceux qui sont sur le chemin de l'évolution, ils ne sont bons que pour ceux qui sont arrivés au terme du chemin, qui remplacent tout maître extérieur par le maitre intérieur qu'ils savent contacter, le Soi supérieur.

Mais bon ce n'est pas faute que j'ai déjà exposé ceci de multiples fois dans d'autres sujets, ça revient quand même smile.png

On peut noter qu'il a atteint la libération vers la fin de sa vie, et c'est à cette époque qu'il a dit que personne n'avait compris ce qu'il avait expliqué durant sa vie; preuve si il fallait que ce qui parait "simple" à lire depuis ses ouvrages n'est manifestement pas ce qu'il voulait dire, de son propre propos; et que suivre ses enseignements "simplement énoncés" n'est donc en rien la voie pour évoluer depuis le point où on se situe. Car de l'aveu même de Krishnamurti ces enseignements voulaient dire autre chose que ce que les gens en ont compris.

En effet ils voulaient dire comment poursuivre le chemin lorsqu'on est arrivé là où il en était. Lui-même se rappelant de vies passées dans sa jeunesse disait avoir été dans sa vie précédente un dévot fervent avec un maitre spirituel (gourou) qui lui avait permis d'avancer jusqu'à sa vie actuelle. Croyez-vous que si cet étape lui a été indispensable, et vous ne savez pas combien de maîtres il a eu avant, vous pouvez sauter toutes les cases du plateau pour arriver sur la même case du jeu que lui, là où il dit qu'il n'a besoin d'aucun maître. Le souci est qu'en mauvais pédagogue il extrapole que ce qui est le bon chemin pour lui à l'instant t de sa vie de fin de jeu avant la libération; est le bon chemin à suivre pour tous les autres joueurs qui sont eux au début du plateau. Il dit cela car justelent il n'a pas encore atteint la libération et vue le plateau de jeu dans son ensemble depuis l'extérieur, pour en comprendre les nécessités de vérités provisoires qui servent de béquille pour cheminer.

En effet avant d'arriver à la 4ème initiation il faut passer par la 3ème et avant la 2nde et comme 99,99% de l'humanité n'a pas encore atteint la 1ère initiation, il faudrait voir les choses en face et comprendre que ce qui est vérité pour avancer pour un initié du 3ème degré n'est en rien ce qui est bon pour le bon peuple dont toi et moi faisons partie... Toujours le problème de ne pas savoir s'évaluer car on ne regarde pas le fait qu'il y a une échelle à gravir et qu'on ne vise pas le barreau du haut quand on est situé 200 étages plus bas.

Ce message a été modifié par LightInWay le Dimanche 01 Novembre 2015 à 11h25
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LightInWay
Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2015 à 16h58 Posted since your last visit
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Comme promis, la suite de quelques extraits intéressants du livre que j'avais pointé par des marque pages laissés dans le livre. Ceci n'est qu'un début.

Guérisons :

Page 246

Citation ("Sai Baba @ l’homme des miracles" @ Howard Murphet, page 246)
Le docteur Banerjee me raconta trois cures miraculeuses dont il fur témoin. La première, qui le concerne personnellement, est d’importance mineure, quoique stupéfiante. Pendant qu’il voyageait en train de Penukonda à Prashanti Nilayam, il s’était pris le doigt dans la fenêtre du compartiment. Le doigt était devenu noir et enflé et lui faisait très mal.
 
Dès son arrivée à l’ashram, il s’assit avec la foule devant le hall de prières afin de voir Baba. Bientôt, l’émouvante silhouette apparut, et baba se mit à marcher, comme de coutume, le long de l’étroite allée qui s »parait les groupes de gens assis par terre. Banerjee se trouvait au premier rang. Quand Baba arriva à sa hauteur, il s’arrêta. Mais au lieu de regarder Banerjee, il lui tourna le dos et, se penchant, s’adressa à quelqu’un qui se trouvait dans le rang opposé. A ce moment là, le bord de sa robe effleura et couvrit les mains du docteur qu’il avait placées devant lui en s’asseyant par terre en tailleur. Au bout d’un moment, Baba continua sa tournée sans dire un mot à Banerjee.
 
Quelques minutes plus tard, le docteur remarqua que la douleur lancinante de son doigt avait considérablement diminué. Le regardant, il vit que la noirceur et l’enflure avaient complètement disparu ; le doigt endommagé était redevenu normal : guéri au contact de la robe du maître.
 
Une autre guérison concerne le champion de saut en parachute qui avait accompagné le docteur Banerjee lors de sa première visite à Prashanti Nilayam en 1961. Cet officier de l’armée de l’air souffrait depuis longtemps d’une maladie incurable à cause de laquelle, quoique marié, il ne pouvait avoir d’enfants.
 
Baba produisit de la vibhûti et la donna à l’officier, avec l’ordre de la manger, lui disant qu’il était guéri et qu’il aurait un fils en bonne santé. Etait-ce dû à la vibhûti, ou à la présence et la volonté du grand guérisseur, ou à ces deux causes réunies ? Quoiqu’il en fût, l’impossible se produisit. La maladie incurable fut guérie, ainsi que Baba l’avait promis, et, plus tard, le parachutiste eut un fils en parfaite santé.
 
La troisième guérison va également à l’encontre de tout principe scientifique. Malgré cela, le digne savant de Bangalore la raconte sans sourciller, et même avec un plaisir évident. Le fils d’un de ses amis, fabricant de produits chimiques et très fortuné, souffrait de crises d’asthme. Ou, du moins, tel était le diagnostic du médecin de famille.


Mais quand le docteur banerjee amena l’enfant à Prashanti Nilayam et le mit en présence de Baba, celui-ci déclara que ce n’était pas du tout un cas d’asthme ; un défaut de morphologie osseuse était la cause de ses difficultés respiratoires. Alors, Baba fit de nouveau son geste magique et fit venir des « Magasins Saï » (ainsi qu’il appelle parfois sa mystérieuse source d’approvisionnement) un médaillon en or avec le portrait de Saï Baba de Shirdi. Baba dit que l’enfant devait le porter autour de son cou comme un talisman, et qu’il n’aurait plus jamais de troubles respiratoires.

A partir de ce jour là, dit Banerjee, l’enfant ne montra plus de signes « d’asthme ». Au bout de quelques temps, le médaillon commença à se détacher de sa chaîne. Quand baba en fut avisé, il dit qu’il avait perdu sa raison d’être et que l’enfant n’avait plus besoin de le porter. On pouvait, dorénavant, le mettre dans une petite boîte.


 
Matérialisation et modelage de la matière en visuel :

Page 261

Citation ("Sai Baba @ l’homme des miracles" @ Howard Murphet, page 261)
En présence d’Indra Dévi et d’un groupe d’américains, Baba « prit » pour elle, « de nulle part », un grand et long japamâla, un chapelet de 108 grosses perles.


[…]


Un jour, Baba matérialisa pour elle une bague ornée d’une quantité de pierres de différentes couleurs. Indra Dévi me dit qu’elle avait peu de goût pour les bijoux, en particulier du genre voyant et décoratif qui sied si bien aux peaux brunes des femmes indiennes. Elle est citoyenne américaine d’origine russe, et son nom, Indra Dévi, fut adopté au cours d’un séjour en Inde dans le passé. Sa peau est très blanche.
Quoiqu’il en fût, la bague ne lui plaisait guère. C’était un présent de Saï Baba et elle se sentait obligée de la porter, mais ce n’était pas son genre, et elle ne l’aimait pas. Ce dilemme la tourmenta beaucoup pendant toute une journée et toute une nuit, me confia-t-elle. Elle se trouva de nouveau invitée en groupe pour une entrevue, et, portant à son doigt l’embarrassant cadeau de Baba, elle attendit son arrivée en compagnie des autres personnes.
 
Quelques instants après son entrée dans la pièce, il lui demanda de lui donner sa bague, et il fit une remarque qui lui démontra sans aucun doute qu’il était au courant de son problème. Puis, tenant la bague entre le pouce et l’index avec les pierres précieuses tournées vers le haut, en pleine vue de tous, il souffla plusieurs fois sur les pierres, comme s’il essayait d’éteindre une allumette. Tout à coup, alors que tout le monde regardait avec attention, l’ensemble de pierres aux couleurs variées se transforma en un seul diamant étincelant. Baba lui rendit la bague avec le solitaire. C’était maintenant un bijou qu’elle pouvait porter constamment et avec plaisir.


 
Matérialisation dans la paume clairement visible :

Page 274

Citation ("Sai Baba @ l’homme des miracles" @ Howard Murphet, page 274)
La nuit était chaude et baba portait une robe à manches courtes qui découvraient son avant-bras et son coude. Mon genou, de la façon dont nous étions assis en tailleur, touchait le sien. La plupart du temps, il laissait sa main droite tomber sur mon genou, au lieu du sien. Je pouvais ainsi voir, sans qu’il puisse y avoir de doute, que sa main était vide, telle qu’elle se trouvait là, la paume en l’air, juste sous mes yeux. Et c’est de cette position que sa main s’éleva et se mit à tourner sous nos yeux, comme une baguette magique, et à tirer du vide plusieurs objets, y compris la vibhûti habituelle qu’il nous distribua, et une grosse bague sertie de neuf pierres précieuses pour Ald Tidemand-Johannessen.

 
Multiplication miraculeuse de la nourriture :

Page 277


Citation ("Sai Baba @ l’homme des miracles" @ Howard Murphet, page 277)
Rien de ce que faisait Baba dans le domaine miraculeux ne surprenait le petit docteur (Note : Dr Ramakrishna Rao), car, au cours des années, il avait été témoin de maints évènements extraordinaires.  Ainsi, quand il était gouverneur de Kérala et qu’il avait invité Baba et quelques disciples à Trivandrum en 1962, sa femme avait organisé un dîner pour soixante personnes. Mais quand Baba est dans les parages, il attire les foules, et près de cent cinquante personnes arrivèrent avec lui. IL était impossible de faire à manger pour tout ce monde dans un si court d »lai. Mme Ramakrishna Rao était très ennuyée. Elle demanda à Baba ce qu’on pouvait faire.


« Donnez à manger à tout le monde, dit baba. Il y en aura suffisamment, ne vous inquiétez pas. »


On ajouta donc d’autres couverts et tout le monde s’assit. Baba, se déplaçant parmi les invités et les serviteurs, bénissait la nourriture et s’assurait que chacun était servi à son goût et à sa faim. Comme toujours, il transformait un repas en un véritable banquet. Personne ne sembla manquer de rien en dépit des quatre-vingt bouches supplémentaires qu’il fallait nourrir. On ne sait comment il s’y prit, mais Baba multiplia la nourriture, et il y en eut assez pour tout le monde. 

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Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2015 à 19h15 Posted since your last visit
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Opération chirurgicale par Baba qui matérialise les instruments et opère sur le champ, multiplication de liquide miraculeuse, et modelage de la matière de visu devant multitude de témoins après une matérialisation, plusieurs choses différentes dans cet extrait :
 
Page 285
 

Citation ("Sai Baba @ l’homme des miracles" @ Howard Murphet @ page 285)
Un des fils du Dr Bhagavantam, qui, à cette poque-là, avait environ onze ans, paraissait être arriéré. Certains médecins avaient recommandé une ponction lombaire pour soutirer du fluide cérébro-spinal, pensant ainsi réduire la pression qui s’exerçait sur le cerveau de l’enfant. D’autres se prononçaient contre ce traitement, disant que cela ne ferait qu’aggraver son cas. Le Dr Bhagavantam décida de ne pas l’entreprendre.
 
Baba, qui aime et comprend les enfants, rencontra le garçonnet et posa à son sujet des questions pleines de compassion. Le savant commença à décrire le cas de son fils, mais Baba reprit l’histoire et raconta lui-même tout ce qui s’était passé, y compris la discussion médicale sur l’utilité d’une ponction lombaire. Il ajouta que cela ne lui ferait aucun mal ; que, bien au contraire, l’enfant serait soulagé et que cela amènerait une amélioration progressive. Puis, d’un air détaché, comme si c’était un détail sans importance, il annonça qu’il ferait lui-même la ponction, sur-le-champ.
 
Le savant se sentit alarmé. Son esprit se remplit de doutes et de craintes. Il commença à se poser des questions au sujet des qualifications professionnelles requises pour entreprendre une pareille opération. Mais avant même qu’il ait pu prononcer un seul mot, Baba avait déjà matérialisé de la vibhûti d’un geste de la main. Découvrant le dos de l’enfant, il frotta avec la cendre la région lombaire. Puis, d’un autre mouvement de la main, il prit dans le vide une aiguille chirurgicale creuse, longue de dix centimètres.
 
Le père se trouvait en présence d’une force qui dépassait tellement son entendement qu’il ne put dire mot ; il ne peut qu’attendre, observer, et espérer que tout irait bien. L’enfant paraissait à demi-conscient, comme anesthésié par la vibhûti de Baba. Sans hésiter, Baba lui introduisit l’aiguille dans le dos, démontrant ainsi sa connaissance du point précis où devait se faire la ponction. Aux yeux du père, l’aiguille sembla disparaître dans le dos. Il commença à s’inquiéter, se demandant comment on pourrait la retirer.
 
Pendant ce temps, Baba massait le dos de l’enfant et recueillait le liquide qui ressortait par l’aiguille. D’après le savant, il sembla en retirer un centimètre cube environ. Puis, massant encore plus vigoureusement, ou peut-être d’une manière différente, Baba retira l’aiguille. Il la tint en l’air, comme s’il la tendait à une infirmière invisible. Immédiatement, elle disparut.
 
« Avez-vous de quoi faire un pansement ? » demanda Baba aux personnes présentes, qui étaient dans un état d’ébahissement total. En compagnie de Bhagavantam se trouvait un autre de ses fils, Ramakrishna et un ami, nommé Shastri, savant sanskriste.
 
Le jeune Ramakrishna répondit qu’il pourrait se procurer le nécessaire en téléphonant à l’institut. Cela prendrait, tout au plus, dix minutes.

« Trop long ! » dit Baba en riant. Et, remuant sa main, il saisit dans le vide le pansement nécessaire, comme si un assistant le lui avait tendu dans une autre dimension. Soigneusement, il le plaça sur le dos de l’enfant, puis ramena celui-ci dans un état de conscience normale. Le malade ne semblait pas avoir souffert, ni même avoir ressenti de malaise pendant ou après l’opération.
 
« Et va-t-il mieux ? » demandai-je.
« Oui, son état s’est amélioré, mais pas de façon spectaculaire, répondit-il prudemment. Mais qui sait ce qu’il serait advenu sans l’opération. Swami dit qu’il continuera à s’améliorer en grandissant. »
 
Le Dr Bhagavantam a souvent vu Baba créer des objets e sa main magique, comme des médicaments en bouteilles ou en paquets, professionnellement emballés, mais sans marque de fabrique. Il a vu Baba changer une pierre précieuse, ou un ornement quelconque, en un objet totalement différent, simplement en passant son doigt dessus. Le bijou en question ne disparaît pas un instant de vue pendant la transformation.
 
Un jour il vit baba matérialiser de l’amrita, qu’il distribua à la cuillère à son entourage. Mais le plus extraordinaire de l’histoire c’est que, d’après le savant (qui, d’ailleurs, a un bon coup d’œil pour juger de la capacité d’un récipient), il n’y avait pas assez d’amrita dans la bouteille pour plus de cinquante personnes. Or, Baba en distribua à cinq cents personnes, ce qui signifie que l’ambroisie avait augmenté dix fois de volume, miraculeusement.
 
Une autre fois, le docteur se trouvait parmi un groupe de disciples assis autour de Baba, sur une plage du sud de l’Inde. La conversation se porta sur les différents noms donnés à l’océan dans la mythologie hindoue. Quelqu’un mentionna le nom de Ratnakara, qui signifie, dit-il, « Seigneur des Diamants et des Pierres Précieuses ». « Dans ce cas », remarqua Baba d’un ton enjoué, « l’océan  devrait pouvoir produire des diamants pour nous. » Ce disant, il mit sa main dans l’eau et en retira une étincelante rivière de diamants.
Tout le monde était émerveillé devant ce collier de grosses pierres précieuses, et quelqu’un demanda à Baba de le mettre autour de son cou. Bhagavantam pouvait voir, manifestement, que le collier ne pouvait pas passer autour de la tête de Baba. Il était trop court, et, apparemment, sans fermoir. Mais un tel problème n’était pas fait pour embarrasser l’homme des miracles : il tira tout simplement sur le collier, des deux mains, comme on le ferait avec une bande de caoutchouc. Le collier s’alllongea jusqu’à la taille voulue, et pourtant il n’y avait pas d’espace entre les pierres. Puis, pour faire plaisir à ses disciples, Baba fit glisser autour de sa tête le collier que Ratnakara lui avait donné, et le garda autour de son cou pendant quelques instants.


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Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2015 à 21h46 Posted since your last visit
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Sai baba factory wink.png aussi chaud que les pains qui sortent du four. Tu n'as pas parlé des transformation de pierre granit en sucre candy juste au touché il me semble ? M'enfin il y a un passage qui a toute son importance, enfin j'ai trouvé qu'il en avait, celui de la croix de jesus avec le trou en haut de la branche, car la croix n'etait pas planté dans le sol, mais suspendue à une potence.

Interessant n'est-il pas ? wink.png

Dit moi LightInWay, a t on des écrits à disposition concernant ces niveaux initiatiques ? J'ai cru lire par ci par là des informations mais je souhaiterait user de ta connaissance et de ton savoir sur ce sujet, car malheureusement, dans ce monde tout se dit, y compris son contraire.

A tiens, hors sujet, mais j'ai noté un recoupement de symbolisme entre les franc maçons actuels et les alchimistes. Tous deux utilisent le symbole de la lune et du soleil. La lune servant à mesurer les choses. Bon après les francs maçons auraient egalement un petit rituel lors de la mise en lumière qui les relient à la Trinité : lune soleil et grand maître de la loge. Bref je retrouve là une branche commune à l'alchimie, du moins sur cet aspect là. C'est intéressant je trouve (valable uniquement pour les loges dont l'une des trois clefs est la bible j'imagine ?)


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Ecrit le: Samedi 31 Octobre 2015 à 22h40 Posted since your last visit
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Pour la croix, c'est ici:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/index...indpost&p=69293

Pour le sucre, je pensais l'avoir mise, la statuette donnée par Saï Baba à Bhagavantam, mais en effet je ne l'ai pas retrouvé. Donc je le mettrai.

Pour les initiations, tu peux lire ici la page qui avait été déposée sur le site il y a un moment:
https://www.chercheursduvrai.fr/inities/

Voir mon sujet à ce propos:
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/index...indpost&p=55118
https://www.chercheursduvrai.fr/forum/index...indpost&p=55138

Je te conseille de lire un livre synthétique sur la compréhension des initiations, de l'évolution des âmes, la vie dans l'astral des décédés, le but de la vie, qui est très pédagogique, se lit facilement, pas ennuyeux du tout et vraiment à conseiller pour toute personne décidant d'aborder la spiritualité du côté de la compréhension:
"La vie de l'âme pendant le sommeil : Récits de voyages hors du corps" de Peter Richelieu (pseudonyme)

Vraiment excellent livre et promis pas un truc prenant la tête ni ennuyeux, vraiment très complet; et au final le titre n'est pas très expressif du contenu, car on a un vrai cours général de spiritualité ésotérique (les corps d'énergie, leur agencement, l'évolution, etc) et en rien un truc limité comme le titre laisserait l'entendre. Je conseille très fortement. C'est en fait un enseignement reçu par un occidental qui ne connaissait rien à la spiritualité, donc ça commence de zéro, c'est progressif et fait pour des occidentaux. Je plussoie fortement, ça n'est pas un achat perdu, bien au contraire.

http://www.amazon.fr/La-vie-l%C3%A2me-pend...l/dp/2851576801
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Ecrit le: Dimanche 01 Novembre 2015 à 09h22 Posted since your last visit
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Merci ! Commandé.


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Ecrit le: Dimanche 01 Novembre 2015 à 09h42 Posted since your last visit
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Bien lu ton long et intéressant message lightinway, je ne le prend pas pour argent comptant car il remet en cause trop de convictions intimes et profondes mais il a le mérite de me donner l’envie de creuser le sujet, de vérifier si mes convictions "réflexes" sont fondée ou pas.

Ça me fait bouger sur le sujet de la spiritualité, donc Merci. icon_wink.gif
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Ecrit le: Dimanche 01 Novembre 2015 à 11h53 Posted since your last visit
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Ah ce n'était pas Bhagavantam mais Rao qui a eu la statue en sucre candi. Je n'ai pas retrouvé dans le livre, car marque page pas mis, je croyais l'avoir fait. Donc je l'ai pris ailleurs sur le net:

Transformation d’une roche de granit en sucre candi :



Citation
Un jour, Sai Baba fit appeler le docteur V. J. Rao, directeur du département de géologie à l’université d’Osmania à Hyderabad.


« Baba ramassa un morceau de granit rugueux et, le tendant au docteur Rao, lui en demanda la composition. Le géologue mentionna quelques-uns des minéraux contenus dans cette pierre.



Baba : ‘Je ne veux pas dire cela… Quelque chose de plus profond…’



Le docteur Rao : ‘Eh bien, des molécules, des atomes, des électrons, des protons…’



Baba : ‘Non, non, encore plus profond ! …’



Le docteur Rao : ‘Je ne sais pas, swami.’



Baba reprit le morceau de granit des mains du géologue et, le tenant entre ses doigts, souffla dessus. Le docteur Rao ne quitta pas un instant la pierre des yeux, et cependant, quand Baba la lui rendit, sa forme avait complètement changé. Au lieu d’être un morceau de rocher informe, c’était devenu une statue de Krishna jouant de la flûte. Le géologue remarqua une différence dans la couleur, ainsi qu’un léger changement dans la composition de la pierre.



Baba : ‘Vous voyez ? Au-delà de vos atomes et de vos molécules, il y a Dieu dans cette pierre. Et Dieu est douceur et joie. Cassez-donc le pied de la statuette, et goûtez-y.’



Le docteur Rao n’eut aucun mal à briser le pied de ‘granit’. Il le porta à sa bouche, ainsi que Baba le lui avait demandé. C’était du sucre candi ! »


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Ecrit le: Dimanche 01 Novembre 2015 à 12h21 Posted since your last visit
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Aussi pris au même endroit:

Matérialisation d’une statue :

Citation
Le Rajah de Venkatagiri et la Rani étaient devenus des fidèles de Sai Baba après avoir fait l’expérience de son omniscience et de ses nombreuses vibhûtis. Le Rajah fut particulièrement impressionné par un miracle fait dans sa ville en 1950, Sai Baba étant alors âgé de 24 ans.


« Un groupe de vingt à trente personnes quitta le palais dans un cortège de voitures pour faire une randonnée dans la campagne. Baba, qui n’avait jamais visité la région de sa vie, demanda au Rajah de s’arrêter près de la première étendue de sable qu’ils rencontreraient sur leur route. Au bout de quelques kilomètres, ils arrivèrent au lit desséché d’une rivière. Là, ils descendirent de voiture et s’assirent sur le sable autour du jeune Swami. Il discourut pendant quelques instants, puis il roula sa manche jusqu’au coude et enfonça son bras dans le sable. ‘Alors’, me raconta le Rajah, ‘nous entendîmes un étrange bruit de scie. C’est du moins ce à quoi cela ressemblait. Je demandai à Swami ce qui faisait ce bruit et il répondit d’une façon énigmatique qu’on était en train de fabriquer de la marchandise à Kailash


Au moment où le jeune Homme-Dieu retira son bras du sable, il y eut un grand éclat de lumière bleue, sur un rayon de trois mètres. Ils virent alors que Baba tenait dans sa main un objet haut de vingt centimètres, composé de spath d’un blanc pur. C’était une statue de Râma, un des avatars, en compagnie de Sitâ, son épouse. Quand tous eurent examiné ce ‘cadeau qui venait de Kailash, Baba l’offrit à la Rani voilée de Venkatagiri et lui dit de le garder, enveloppé dans de la soie, jusqu’au lendemain.


Quand, le jour suivant, la statue fut retirée de son enveloppe, la pierre blanche était devenue bleue. La statuette a maintenant sa place dans la chapelle du Rajah et, me dit celui-ci, elle est toujours de la même couleur bleue que la lumière qui jaillit autour d’elle quand elle sortit du sable. »


De telles matérialisations furent chose courante pendant les 32 premières années de la vie de Sai Baba. Quelques instants après la matérialisation, les statues, surtout les plus grosses, étaient chaudes, ce qui prouve la réalité du phénomène.


Les choses qu’il fait ou qu’il donne n’ont qu’un seul objectif : redonner la foi ou protéger le fidèle. Pour le reste, Sai Baba écrit :


« La plupart d’entre vous viennent ici pour que je leur donne bibelots et camelote de toute sorte ou bien pour être guéris de leurs maux, ou encore pour obtenir un quelconque avancement dans leur travail. Mais très peu viennent pour prendre ce que je suis venu donner à tous : la libération elle-même… Et même parmi ces quelques-là, seulement une poignée suit la ‘Sâdhanâ’ (discipline spirituelle) recommandée et arrivent au but. »


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Ecrit le: Dimanche 01 Novembre 2015 à 12h25 Posted since your last visit
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Je reviens au livre de Murphet:


Des apparitions de cendre, multiplication d’objets et autres effets paranormaux chez des monsieur tout le monde en lien avec Saï Baba : les miracles qui ont lieu hors de la présence de Saï Baba:

page 232

Citation ("Sai Baba @ l’homme des miracles" @ Howard Murphet , page 232)

Le docteur D.S. Chander, chirurgien-dentiste de Bangalore, est l’un de ceux qui ont fait l’expérience de cet étrange phénomène. Il me raconte que la vibhûti apparut soudain sur toutes les images dans sa pièce de puja ; puis, au bout d’un mois, elle disparut complètement.
 
[…]
 
Nous avons été invités, ma femme et moi, dans plusieurs maisons situées dans différentes villes, où s’est produit cet étrange phénomène. J’ai remarqué que, quand la cendre apparaît sur le verre, elle y adhère étroitement, bien que quelques grains tombent sur la cadre et s’y amassent.
 
Dans une de ces maisons, une dame me raconta : « D’abord, ce la apparut à l’extérieur, sur le verre, et plusieurs personnes ont dit que c’est nous qui l’y avions mise, pour faire parler de nous, ou pour quelque raison similaire. Alors, la cendre se manifeste à l’intérieur, entre le verre et l’image. »
 
J’eus l’occasion d’examiner quelques unes de ces images où la cendre s’était formée sous le verre. Le dos de ces images, dans la plupart des cas, paraissait solidement collé et ne semblait pas avoir été défait depuis longtemps. Ajoutons que les propriétaires de ces photos, comme tous ceux concernés par ce phénomène de la cendre que nous avons rencontrés, ne sont pas du genre à se complaire dans l’imposture. C’étaient des personnes de grande piété, remplies, me semblait-il, non d’égoïsme et d’orgueil spirituel ; mais d’humilité, de vénération, et d’une crainte sacrée à l’égard de cette puissance bienveillante qui avait laissé sa marque dans leurs demeures.
 
Dans certaines maisons, d’autres objets se matérialisent en plus de la cendre : des poudres diverses utilisées pour le culte, des gouttes d’amrita, des statuettes de dieux hindous, des fleurs, et quelquefois des guirlandes qui se placent autour des images.
 
Ces pouvoirs paranormaux, associés au nom de Saï Baba, se manifestent aussi dans d’autres domaines d’une façon incroyable. En voici un exemple. M.K.A. Kulkarni de Poona avait l’habitude de se rendre, tous les jeudis, au temple dédié à Saï baba de Shirdi. Une fois, il prit avec lui des photos de Sathya Saï Baba et des brochures traitant de lui. Dans son sac, il y avait six brochures en hindoustani, autant en anglais, et une demi-douzaine de photos de Sathya Saï Baba.
 
Il se mit à en distribuer aux fidèles dans le temple. Cela attira une foule d’une centaine de personnes ; Ils voulaient tous des brochures en hindoustani, ainsi que des photos –apparemment, personne ne pouvait lire l’anglais. Kulkarni, distribua le peu qu’il avait, et fut sur le point d’annoncer qu’il en apporterait d’autres la semaine suivante.
 
Il plongea la main dans son sac pour en retirer la dernière brochure et fut absolument ahuri de découvrir que le sac, loin d’être vide, était à moitié plein. Il regarda à l’intérieur : il y avait un gros paquet de brochures en hindoustani et un autre paquet de photos. Tout le monde reçut satisfaction. Il ne resta pas une seule brochure en hindoustani, ni une seule photo. Il n’y avait plus dans le sac que les six brochures en anglais. Personne n’en avait voulu, et leur nombre n’avait pas été, lui, miraculeusement augmenté.
 
D’autres évènements paranormaux m’ont été signalés ici et là, y compris des cas d’écriture automatique, et des messages entrevus par des personnes clairvoyantes, soit dans la poudre de rangoli, soit sur des murs ou des plafonds. Ces messages paraissent venir de Saï Baba. Les personnes en cause, du moins celles que j’ai rencontrées, semblent être sincères et de haute valeur morale. Elles décrivent avec enthousiasme comment ces messages ont servi à aider des malades, à donner des directives morales, à assister des gens dans leurs difficultés avec leurs relations personnelles, dans leur situation, etc. Donc, ce pouvoir, dans ses manifestations, semble être rempli de bienveillance et de compassion.

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Ecrit le: Dimanche 01 Novembre 2015 à 18h13 Posted since your last visit
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Les apparitions miraculeuses de Saï Baba à des centaines ou des milliers de kilomètres, sous des formes diverses, pour aider ou soigner une personne en lien avec des croyants :
 
Page 226
 

Citation ("Sai Baba @ l’homme des miracles" @ Howard Murphet , page 226)

Depuis l’établissement, au siècle dernier, d’un culte voué à Saï baba, il y a eu de nombreux rapports sur sa façon de se présenter à ses disciples sous diverses formes, à mille lieues de l’endroit où se trouve son corps physique. Il se manifeste aussi bien sous sa propre forme que sous une autre, telle que celle d’un vieil ami, d’un parent, d’un mendiant, d’un ouvrier, ou d’un ascète.
 
Quelquefois, il paraît créer une mâyâ temporaire, ou illusion, d’une forme. Parfois, il arrive qu’il « recouvre de son ombre », si l’on peut dire, une vraie personne ou un animal, leur faisant faire ce qu’il désire, prenant note lui-même de la réaction ou de la réponse du disciple concerné. Plus tard, il fait mention de l’incident au disciple. Il lui arrive parfois de faire une remarque aux gens de son entourage, concernant un évènement dans un endroit lointain. On en reçoit plus tard la confirmation.
 
Tel fut le cas quand H.S. Dixit reçut une lettre à Shirdi, lui annonçant qu’un de ses frères, qui vivait à Nagpur, était tombé malade. Il en parla à Baba, ajoutant tristement : « Je ne peux lui être d’aucun service. » Ce à quoi Baba répondit : « Oui, mais moi, je suis de service. »
 
Dixit ne comprit pas ce que cela signifiait. Mais il en reçut l’explication un peu plus tard, car au même instant, à Nagpur, un saint se présentait chez son frère et prononçait les mêmes mots : « Je suis de service. » Le saint guérit le frère de sa maladie. Ainsi, Dixit se rendit compte que, même à des milliers de kilomètres, Baba était au courant de ce qui se passait et faisait aussitôt le nécessaire.
 
Peut-être était-ce un vrai saint que baba avait « couvert de son ombre ». Mais celui qui, plus récemment, apparut à un disciple de Delhi, se rapproche plus d’une création illusoire, une forme temporaire, adoptée par Sathya Saï Baba.
 
L’histoire suivante me fut racontée par Mme Kamala Sarati, la femme de M.R.P. Sarati qui, à l’époque de l’évènement, était Secrétaire d’Etat à la Défense, V.K. Krishna étant le ministre.
L’incident concerne un nommé V.S. Chidambaram, un violoniste, professeur de musique de Kamala. N’étant pas elle-même très sûre de tous les détails de l’histoire, Kamala eut la bonté d’écrire de la part depuis Madras, où elle habite maintenant, à son vieux maître de musique qui vit maintenant à Delhi. Il lui répondit, donnant un compte-rendu détaillé de son aventure. Kamala me fit parvenir la lettre.
 
Cela se passait à Delhi, en 1950, à l’époque où Kamala et son professeur de musique, Chidambaram, étaient déjà disciples de Baba depuis deux ou trois ans. Ils avaient tous deux séjourné à Puttaparthi au moins cinq ou six fois, et Chidambaram occupait à cette époque une chambre chez les Sarati, à Delhi.
 
Un matin, le professeur de musique, qui avait alors quarante-cinq ans, roulait avec sa bicyclette le long de la route de Minto qui joint le nouveau et le vieux Delhi. Il avait donné des leçons à plusieurs élèves et devait être de retour à onze heures pour donner une leçon de violon à Kamala.

Pendant qu’il roulait, il cogitait un problème. Le voyage de Puttaparthi lui coûtait très cher. Il y avait eu des expériences extraordinaires et merveilleuses, mais il commençait à se demander s’il pouvait se permettre ces voyages. Il écrit dans sa mettre : « J’étais juste en train de me demander si Baba était vraiment une incarnation de Dieu et si cela valait vraiment la peine de dépenser tant d’argent pour aller le voir à Puttaparthi. »
 
A ce moment-là, un vieil ascète, qui roulait à toute vitesse derrière lui, le rattrapa. Le professeur remarqua que l’ascète portait une robe et avait autour de la tête un morceau d’étoffe, tout comme sur le portrait de Saï Baba de Shirdi. L’ascète s’arrêta ; Chidambaram fit de même et le salua. L’ascète lui dit qu’il désirait lui parler seul à seul et, comme la rue était bruyante et pleine de monde, il suggéra qu’ils se retirent dans un coin tranquille…
 
Chidambaram, réalisant qu’il serait en retard pour la leçon de Kamala, protesta un peu, mais l’ascète lui assura qu’il ne s’agissait que de dix minutes au plus.
 
Le professeur de musique continue : « Il me semblait que cet ascète ressemblait à Saï Baba e Shirdi. J’acceptai donc de le suivre. » Ils marchèrent, s’engagèrent dans un chemin de traverse en poussant leurs bicyclettes et arrivèrent enfin près d’un vieux tombeau. L’ascète s’y assit, posant une jambe sur l’autre, à la manière caractéristique de Saï baba de Shirdi. Le professeur de musique s’inclina et fit les gestes coutumiers de respect et de révérence, puis s’assit par terre aux pieds du saint homme.
 
L’ascète (après un moment de silence) : « Qui suis-je, d’après-vous ? »
Chidambaram : « Vous me semblez être Saï Baba de Shirdi. »
L’ascète : « Très bien. Regardez ma main. » Il montra sa main à Chidambaram. Sa paume était comme un miroir dans lequel se reflétait, en couleurs éclatantes, la forme souriante de Saï baba de Puttaparthi, assis dans un fauteuil. Le professeur de musique contempla la vision avec une crainte respectueuse.
 
Puis l’ascète ouvrit sa robe et sa chemise et montra sa poitrine à Chidambaram, qui reçut une autre vision de Baba de Puttaparthi. Cette fois-ci, « il était assis avec une guirlande de fleurs autour du cou. Il était resplendissant de joie divine. »
 
Le professeur de musique était submergé d’émotion. Il se mit à trembler et à verser des larmes de joie. L’ascète lui frotta le dos, comme Saï Baba le fait si souvent pour ses disciples affligés. Il mit un peu de vibhûti sur son front et lui donna du sucre candi à manger. Il avait matérialisé le tout à la façon inimitable de Sathya Saï baba.
 
Assurant au professeur que les deux Babas ne faisaient qu’un, l’ascète lui dit : « Ne perdez jamais courage, quoi qu’il arrive. C’est par amour pour vous que je suis venu. Et maintenant, partons. »
 
Pendant le chemin du retour, Chidambaram supplia l’ascète, qu’il savait maintenant être le Saï Baba qu’il connaissait et adorait, de l’accompagner chez les Sarati. Mais le saint homme refusa. « Je le regardai s’éloigner sur sa bicyclette dans la rue tranquille. En deux minutes, lui et sa bicyclette avaient disparu, complètement. » Le professeur de musique ne se sentait plus la force de rouler tant il était ému ; donc, dit-il, « je mis ma bicyclette sur une charrette et rentrai à la maison. »

Kamala me raconta : « Il était tellement en retard que je commençait à m’inquiéter. Puis enfin il arriva, perché sur la tonga, et dans quel état ! Quand il parvint à parler avec un peu de cohérence, il me raconta toute l’histoire. Depuis, il n’a plus jamais eu de doutes. Il est entièrement dévoué à Saï Baba. »


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Ecrit le: Mardi 03 Novembre 2015 à 04h06 Posted since your last visit
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Bonjour ,
Ma soeur ayant visitée plusieurs fois en Sai Baba en Inde, j'ai pu avoir directement d'elle des témoignages de miracles a l'ashram, aussi elle me racontait  qu'en étant a quelques dizaines mètres de Sai , tout son être fondait de compassion et d'amour une expérience extraordinaire plusieurs fois vécue, le regard de Sai était d'une profondeur indescriptible....
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Ecrit le: Mardi 03 Novembre 2015 à 08h34 Posted since your last visit
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On se donne rendez vous dans 20ans (si on est encore de ce monde ?). Sinon j'ai commencé le livre prescrit par lightinway et il commence bien. Un indien qui fait des condensé  (et quand je dis condensé je pèse mes mots car en 2/3 pages il envoie un paquet d'info qu'il faut bien comprendre ! ). L'approche est bien pensé, très interessante et donne à réfléchir. Encore un livre de qualité, merci !

Du coup je vais laisser Keshe de côté car je suis de nouveau dans un cycle d'avancée spirituel. Décidément ils sont de plus en plus rapproché ! 


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Ecrit le: Mardi 03 Novembre 2015 à 18h49 Posted since your last visit
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Citation (BlueDragon @ Mardi 03 Novembre 2015 à 08h34)
On se donne rendez vous dans 20ans (si on est encore de ce monde ?). Sinon j'ai commencé le livre prescrit par lightinway et il commence bien. Un indien qui fait des condensé  (et quand je dis condensé je pèse mes mots car en 2/3 pages il envoie un paquet d'info qu'il faut bien comprendre ! ). L'approche est bien pensé, très interessante et donne à réfléchir. Encore un livre de qualité, merci !

Du coup je vais laisser Keshe de côté car je suis de nouveau dans un cycle d'avancée spirituel. Décidément ils sont de plus en plus rapproché ! 

Content qu'il te plaise. C'est un excellent livre, très pédagogique, les choses sont exprimées clairement, sans redondance; pas ennuyeux et qui permet d'apprendre beaucoup dans le domaine spirituel sous forme condensée sans que ça soit barbant ou pompeux car c'est un enseignement oral consigné par écrit; alternant les enseignements avec les expériences sur terrain de la personne qui se fait enseigner et visite les sphères astrales les nuits et qui vit des aventures.

Je l'ai lu par groupe de 10 pages chaque jour pendant les grandes vacances à mes enfants pour leur faire une base de connaissances spirituelles.

C'est un livre que je prendrai plaisir à relire de temps en temps et que je conseille vraiment à toute personne intéressée dans me domaine spirituel. Son titre est très mal choisi, car il n'en montre absolument pas la qualité qui est dedans en rapport avec le titre. On croit qu'on va suivre quelqu'un qui dort alors que ce n'est en rien le cas; c'est vraiment un enseignement bien ficelé et des expérimentations directes de certaines des choses enseignées par celui qui reçoit l'enseignement.


Avec un mauvais titre, il se fait une mauvaise publicité; dommage. Ce livre aurait pu s'appeler: "enseignements sur l'évolution de l'âme, son but et ses transformations depuis sa création, les corps d'énergie humains et les mondes astraux et mentaux, la façon dont il s'agencent, ce qu'on y fait après la mort et durant les nuits, ainsi que expériences vécues sur ces plans pour corroborer les enseignements" ça aurait été plus adapté mais plus long. Bref un bouquin à recommander +++ de mon côté.

Ce message a été modifié par LightInWay le Mardi 03 Novembre 2015 à 18h59
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Ecrit le: Mercredi 04 Novembre 2015 à 21h17 Posted since your last visit
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La suite de mes marque-pages dans le livre de Howard Murphet sur Saï Baba:

Saï Baba aide une personne en le sauvant de la mort à distance par la manifestation d'une force télékinésique énorme sur une durée très étendue:

Citation ("Sai Baba l’homme des miracles" @ Howard Murphet , page 229)
L’histoire suivante concerne M.V.Radhakrishnan de Kuppam, que Baba semblait décidé à garder sur terre aussi longtemps que possible. En 1960, sept ans après sa résurrection des « morts », Radhakrishnan, tomba de nouveau malade, et souffrait atrocement.

Il me raconta : « Une nuit, le docteur me fit une piqûre de morphine et je m’endormis. Il paraît que je me levai plus tard dans la nuit et que je me mis à errer, en état d’inconscience. Je n’ai aucun souvenir de ce qui s’est passé. On m’a dit que je suis tombé dans un puits qui se trouvait près de la maison. Le puits était à découvert, il mesurait trois mètres de large, était profond de quatorze mètres environ, et à moitié rempli d’eau. Les parois étaient lisses. Il n’y avait ni rebords ni rien pour s’agripper ou se tenir debout. »
Sa fille Vijaya, qui était à Kuppam à cette époque-là, continue l’histoire à l’aide des notes de son journal.

« Ma mère se réveilla vers trois heures du matin et s’aperçut que mon père n’était pas dans son lit. Elle se leva et partit à sa recherche. Arrivée dehors, elle l’appela, et bientôt, entendit une voix qui criait : « Je suis dans le puits. » Elle y courut et regarda à l’intérieur à l’aide d’une lampe électrique. Il y était en effet. Il se tenait debout dans l’eau qui lui arrivait à la taille. Elle trouva cela curieux, car elle savait qu’il n’y avait rien dans le puits pour lui servir de piédestal. Elle l’appela, mais il ne répondit pas ; il demeurait figé dans l’eau.

Elle se précipita à l’intérieur de la maison et me réveilla, ainsi que mes deux frères. Nous nous rendîmes au puits, mais nous ne savions pas comment en faire sortir notre père. Une pierre plate couvrait le puits, laissant une ouverture de chaque côté, et c’est par l’une d’elles que mon père était tombé. Mon frère, Krishna Kumar, s’étendit sur la dalle et essaya d’atteindre mon père, mais il se trouvait hors de portée. Nous avions dû faire beaucoup de bruit, car le chef de la police apparut soudain sur les lieux. Il raconta plus tard qu’il revenait de la gare et qu’il passait près de chez nous pour aller à son bureau, quand il entendit le bruit que nous faisions. Ce n’était pas dans ses habitudes de passer par ce chemin. Il ne sait pas pourquoi il le fit ce soir-là. Il faut savoir que c’est un ami de la famille.

A l’aide de cordes, de poulies et d’un panier, ils parvinrent à repêcher mon père ; je ne sais pas exactement comment, car je me tenais à l’écart. Mais, à ce moment là, j’eus l’impression que Krishna Kumar fit preuve d’une force surhumaine pour tirer mon père du puits. Quand j’y pense maintenant, je crois fermement qu’il a été aidé par une force qui poussait d’en bas. Enfin, vous voyez ce que je veux dire…

Notre père était à demi conscient quand il parvint en haut. Il fut amené à la maison et mis au lit. Puis nous avons appelé le médecin. Pendant que nous attendions, nous avons entendu mon père qui disait : « Quand est-ce que je vous reverrai, Baba ? » comme si Baba était présent dans la chambre. Sans doute y était-il, mais nous ne pouvions pas le voir.

Quand le docteur arriva et examina mon père, il ne put croire qu’il était tombé dans le puits ; mais le chef de police, qui était encore là, confirma notre invraisemblable histoire. Le docteur annonça qu’il ne pouvait trouver aucune trace de traumatisme et que, d’ailleurs, le malade était en bien meilleur état qu’avant sa mésaventure. Il n’avait nul besoin de soins ou de médicaments, dit-il ; une bonne tasse de café ferait l’affaire. »

Radhakrishnan, lui-même, me dit : « Je savais que c’était l’ouvre de Baba, de me soutenir debout comme ça, dans l’eau ; aussi, le jour même, je louai une voiture et nous nous rendîmes à Puttaparthi. Dès notre arrivée, Baba nous salua du haut de son balcon. Puis, en riant, il nous dit : « J’en ai encore mal aux épaules de vous avoir soutenu tout ce temps-là, la nuit dernière, Radhakrishnan ! » Un peu plus tôt dans la matinée, il avait dit à quelques fidèles qu’il s’était « absenté » pendant la nuit pour aider Rdhakrishnan qui se trouvait en difficulté. »

Que dire ? baba était-il présent à Kuppam sous une forme subtile que seule Radhakrishnan pouvait voir dans un état de conscience différent ? Avait-il utilisé ses extraordinaires pouvoirs télékinésiques, ces attributs de la psyché, qui n’ont été encore qu’entrevus par la parapsychologie, pour soutenir le corps de Radhakrishnan au-dessus de la ligne d’eau dans le puits ?

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Ecrit le: Vendredi 06 Novembre 2015 à 14h16 Posted since your last visit
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Saï Baba aide une personne en le sauvant du feu à distance :

Page 219

Citation ("Sai Baba @ l’homme des miracles", Howard Murphet, page 219)

Kasturi a décrit l’incident suivant.

Vers une heure trente de l’après-midi, le 21 juillet 1959, les disciples intimes de Baba s’alarmèrent de voir sa température monter tout à coup jusqu’à 44 degrés. Cinq minutes plus tard, le thermomètre enregistrait 37 degrés. C’était pour eux un vrai mystère. Sur le moment, Baba ne donna pas d’explication.
 
Mais ce soir-là, il dînait avec un groupe de disciples sur une terrasse, au clair de lune. Parmi eux se trouvait un jeune homme de Madras, qui était demeuré quelque temps chez Baba et qui devait repartir le lendemain. Tout à coup, Swami leur dit : « Quand vous verrez votre mère demain, dites-lui de faire un peu plus attention avec le feu. »
Cette remarque provoqua une curiosité considérable, et pas mal d’inquiétude. Alors Baba leur raconta que le sari de la dame avait pris feu ce matin-là, à Madras, pendant qu’elle se trouvait dans sa salle de pûjâ, mais que les flammes avaient été éteintes à temps. Le sari était perdu, mais elle en était ressortie indemne.
A la fin du dîner, un des disciples eut l’idée de téléphoner à Madras. Baba fut d’accord, et ce fut fait. La dame vint à l’appareil et donna des détails supplémentaires au sujet de l’accident. Puis Baba lui parla lui-même et on l’entendit rire et dire : « Oh non, je ne me suis pas brûlé les mains. Ma température est simplement montée de quelques degrés pendant un instant. »
 
Quelques années plus tard, M.G. Venkatamuni, dont la femme, Sushila, est l’héroïne de l’histoire, me donna un compte-rendu de première main. Son sari avait bien pris feu dans la pièce de pûjâ, raconte-t-il, et, en quelques secondes, elle fut enveloppée par les flammes. Elle fut saisie de panique, mais, disciple de longue date, les premiers mots qui lui vinrent aux lèvres furent « Saï Baba ! ». Immédiatement, le feu s’éteignit, et Sushila, sachant par expérience le pouvoir à distance de Baba, fut convaincue que, d’une manière ou d’une autre, il était venu à son aide en cet instant crique.
 
Oubliant pendant un moment qu’il n’était pas venu à son aide dans son corps physique, elle lui demanda au téléphone s’il s’était brûlé les mains. Pourtant, ce n’était pas une question aussi sotte que l’on pourrait le croire. Les chercheurs en matière psychique ont observé plusieurs cas où des personnes qui entreprenaient un voyage astral avaient subi un choc qui avait laissé des marques sur le corps physique, comme des blessures, des brûlures ou des bleus. La soudaine montée de fièvre de baba semble avoir été un exemple bénin de ce phénomène.
 
Pendant les années 40 et la plus grande partie des années 50, Baba entrait souvent en transe quand il voyageait hors de son corps. Soudainement, et sans prévenir, il devenait inconscient. Ceux qui étaient près de lui savaient alors qu’il était parti, probablement chez un lointain disciple. A son retour, il racontait parfois ce qui s’était passé.
 
Quelquefois, certains effets sur le corps physique de Baba indiquaient ce qu’il « tait en train de faire dans son corps subtil. Par exemple, des mots qui correspondaient à ce qu’il disait dans un endroit lointain sortaient de ses lèvres physiques. D’autres fois, de la vibhûti apparaissait sur son corps. Ce phénomène avait lieu généralement quand il était « parti » pour être présent à la mort d’un disciple. N. Kasturi dit : « Dans de telles occasions, la vibhûti sacrée, symbole de la mort et de tout ce qui est temporaire et évanescent, sort de la bouche du corps que Baba laisse derrière lui pour se rendre au lit de mort. »

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Ecrit le: Samedi 07 Novembre 2015 à 07h26 Posted since your last visit
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Saï Baba sauve à distance deux fois un couple de ses dévots de la mort par le feu en train et d'un crash d'avion(de plus le mari n'est pas n'importe qui mais un gouverneur d'Inde qui est souvent venu voir Baba et a bénéficié de nombreuses manifestations miraculeuses):

page 274

Citation ( "Sai Baba @ l’homme des miracles", Howard Murphet, page 274)
Cela se passait en août 1967. Le Do Ramakrishna Rao était venu passer quelques jours à Prashanti Nilayam pour l’inauguration officielle de la ville. J’avais entendu raconter maintes anecdotes au sujet de ses expériences miraculeuses avec Saï Baba, et je profitai de l’occasion pour en apprendre les détails de sa propre bouche. Il savait, naturellement, que je voulais ces informations pour les publier. Il ne s’y opposa pas, pas plus qu’à la mention de son nom qui était, pour le moins qu’on puisse dire, bien connu en Inde ainsi qu’à l’étranger.

Voici donc une des remarquables histoires qu’il me raconta. En 1961, quand il était Gouverneur d’Uttar Pradesh, il eut à faire un voyage en train express en compagnie de sa femme, de Bareilly à Nainatal, dans les Himalayas. Ils étaient les seuls occupants de leur wagon de première classe, et ce wagon n’avait pas de couloir desservant les compartiments.

Vers onze heures du soir, le Gouverneur remarqua soudain que des étincelles sortaient du ventilateur. Bientôt, elles s’étaient tellement intensifiées que lui et sa femme s’affolèrent. Il leur semblait que le compartiment allait prendre feu. Il chercha partout une sonnette d’alarme pour arrêter le train, mais en vain. Il devenait probable que le Gouverneur et sa femme allaient être brûlés vifs sans que personne ne puisse leur porter secours. Il ne leur restait plus qu’à prier, ce qu’ils firent avec ardeur.

Soudain, ils entendirent frapper à l’une des portes qui donnaient à l’extérieur, ce qui était très surprenant car les portes s’ouvraient dans le vide et le train roulait à toute vitesse. Le docteur se dirigea vers la porte et l’ouvrit. Emergeant de la nuit, un homme entra, vêtu de l’uniforme kaki des électriciens du réseau. Sans mot dire, l’homme se mit immédiatement à l’œuvre sur le ventilateur défectueux dont les étincelles volaient maintenant comme de « la paille en l’air ».

Au bout d’un quart d’heure, l’électricien leur dit : « Il n’y a plus de danger maintenant. Vous pouvez aller vous coucher et dormir. » Sur ce, il s’approcha de la porte et s’assit par terre.

La femme du Gouverneur s’étendit sur sa couchette et ferma les yeux. Mais elle les garda à demi-ouverts car, comme elle l’expliqua plus tard à son mari, elle pensait que quelqu’un qui risquait sa vie à longer le marchepied d’un train lancé à toute vitesse ne pouvait être qu’un cambrioleur. Il allait les dévaliser dès qu’ils seraient endormis. Le Gouverneur, qui n’éprouvait aucun soupçon, s’était plongé dans un livre.

Tout à coup, il fut surpris de sentir une main qui le touchait. C’était l’employé qui lui demanda à voix basse de fermer la porte derrière lui, car il devait partir. Le petit docteur était très étonné. Il ne comprenait pas pourquoi l’électricien n’attendait pas le prochain arrêt pour descendre. Mais avant qu’il n’ait pu dire un mot, l’homme vêtu de kaki avait ouvert la porte. L’air de la nuit entra en sifflant dans le compartiment. Le Dr Ramakrishna Rao sauta du lit et atteignit la porte juste à temps pour voir l’homme se tenir debout un instant sur le marchepied, puis disparaître dans la nuit.

Tout cela était bien mystérieux. Comment avait-il pu savoir que le ventilateur était en dérangement ? Comment était-il parvenu jusqu’au wagon ? Pourquoi avait-il choisi de repartir en longeant le marchepied d’un train express lancé à une vitesse folle, qui se balançait dangereusement, alors qu’il aurait pu tout simplement attendre la prochaine gare pour descendre ? Ou bien cet homme aimait vivre dangereusement, ou bien il était fou ; mais il devait être aussi clairvoyant pour avoir su que le ventilateur fonctionnait mal. Avec un haussement d’épaules intérieur, le petit docteur se recoucha et s’endormit.
Un mois plus tard, le Gouverneur était de nouveau en déplacement, cette fois-ci dans l’avion réservé à son usage personnel. Ce jour-là, outre sa femme et son pilote, il était accompagné de son aide de camp, e son secrétaire personnel et de la femme du pilote. Ils allaient de Kanpur à Bénarès.

Survolant Bénarès, le Gouverneur remarqua qu’ils décrivaient des cercles autour du terrain d’aviation plus longtemps que de coutume avant d’atterrir. Il demanda si quelque chose n’allait pas. On lui dit que le train d’atterrissage était coincé. De plus, ils étaient presque à la fin de leur réserve d’essence. Avec l’accord du Dr Ramakrishna Rao, le pilote décida de tenter un atterrissage sur l’herbe du terrain d’aviation. Il signala son intention au personnel de l’aéroport. Les voitures de pompiers furent déployées, et tous les préparatifs faits pour faciliter la manœuvre. Chacun savait, naturellement, que c’était une opération extrêmement dangereuse. Le petit docteur et sa femme firent de ferventes prières à leur gouroudéva, Saï Baba, pour qu’il leur accorde une protection bien nécessaire.

Peut-être l’aide de camp priait-il de la même manière, car il était aussi disciple de Saï Baba. Comme le docteur, il portait un talisman matérialisé par Baba. Le pilote le savait. Avant de tenter l’atterrissage, il demanda à l’aide de camp d’essayer de manœuvrer lui-même le levier qui devait désengager le train d’atterrissage bloqué. L’aide de camp mit la main sur le levier et appuya selon les directives du pilote. Le train d’atterrissage descendit sans difficulté. Ils purent atterrir normalement.

Le lendemain matin, Mme Ramakrishna Rao, sachant que Baba était dans le sud de Bangalore, lui téléphone de Bénarès afin de le remercier pour sa grâce et sa protection qui, elle en était sûre, les avaient sauvés de la mauvaise passe où ils se trouvaient. Elle découvrit, sans en être vraiment surprise, que Baba était au courant de l’évènement. Il en mentionna quelques détails.
Puis il remarqua : « Mais vous ne m’avez rien dit de l’incident dans le train. »
« Quel incident dans le train, Swami ? » demanda-t-elle, car elle l’avait oublié sur le moment.
« Mais voyons, quand le ventilateur a presque pris feu et que vous vous imaginiez que j’étais un cambrioleur ! » dit Baba en riant.

Le Dr Ramakrishna Rao était sûr que l’histoire du train n’avait pu parvenir aux oreilles de Baba par des moyens normaux, car ni lui ni sa femme n’en avaient parlé à qui que ce soit. Ils s’étaient gardés de la mentionner le lendemain, pour ne pas mettre en émoi leur personnel ; puis , plus tard, l’incident s’était estompé, perdu de vue au milieu des évènements de leur vie active.

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Ecrit le: Samedi 07 Novembre 2015 à 13h11 Posted since your last visit
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Citation (BlueDragon @ Mardi 03 Novembre 2015 à 08h34)
On se donne rendez vous dans 20ans (si on est encore de ce monde ?).

Tu sais que c'est pareil pour moi, dans d'ici environ 20 ans minimum (le temps que le "nouveau baba s'incarne d'ici 4 ans environ et grandisse assez pour être adolescent d'une quinzaine d'années au minimum pour manifester sa conscience d'avatar et soir manifesté aux yeux de tous comme tel -ce qui est arrivé quand il avait 16 ans environ dans sa vie comme Sathya Saï Baba-, et c'est encore un minimum, peut-être ne sera-t-il pleinement investi et connu à l'extérieur que pour environ ses 20 ans à lui; donc ça repousse; à moins que ses dévots fervents ne le cherchent sans répit et le découvrent et le fassent connaître -car il a donné publiquement le lieu de sa prochaine incarnation, donc ils savent où me chercher- quand ils sera bien plus jeune et capable aussi d'assumer cela auquel cas ça avance un peu la date où il sera rencontrable); je serai aussi de la partie (si je suis encore de ce monde).
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Ecrit le: Samedi 07 Novembre 2015 à 18h56 Posted since your last visit
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Liquéfaction et disparition d'une tumeur cancéreuse en une journée par Saï Baba:

page 199

Citation ( "Sai Baba @ l’homme des miracles", Howard Murphet, page 199)
M.P.S. Dikshit, de Bombay, produit des films documentaires pour le gouvernement de Maharashtra. IL est également bien connu comme chanteur de bhajans. J’entendis parler pour la première fois de la remarquable guérison de sa sœur par la Maharani de Kutch et par d’autres disciples de Baba. Plus tard, M. Dikshit lui-même me raconta son histoire.

Sa sœur avait au sein gauche une grosseur suspecte. Des examens effectués à l’hôpital Commémoratif de Tata à Bombay confirmèrent la présence d’un cancer. Les médecins recommandèrent l’ablation immédiate du sein. Le chirurgien chef de service consentit à opérer quelques jours plus tard, c'est-à-dire le mardi suivant. Mais ses assistants, se rappelant que le mardi était jour férié, remirent l’opération au mercredi. N’ayant que quelques jours à sa disposition, M. Dikshit essaya de joindre Saï Baba pour obtenir son feu vert et sa protection. Finalement, après avoir découvert que Baba était en visite à Anantapur, dans l’Andra Pradesh, il prit le train pour cette ville en compagnie de sa sœur.

Baba était descendu chez un disciple, dans un faubourg d’Anantapur. Par hasard, je faisais partie du groupe qui l’accompagnait. M. Dikshit et sa sœur arrivèrent tôt le matin et furent obligés d’attendre dans la véranda pendant que Baba terminait ses ablutions. Bien que personne ne l’ait informé de la visite ni de sa raison, lorsque Baba les rencontra, il dit à Dikshit : « Je sais, c’est un cancer au sein gauche de votre sœur. L’opération devait avoir lieu mardi prochain, mais elle a été reportée à mercredi. En fait, elle aura lieu jeudi. Je serai là et tout se passera au mieux. Ne vous inquiétez pas. »

Puis Swami matérialisa de la vibhûti de son geste miraculeux habituel, en donna à manger à la patiente, et frotta le reste sur le sein gauche de M. Dikshit, sous sa chemise. Finalement, il lui tapota la poitrine et dit : « Allez maintenant ! » Ils repartirent.

Ils arrivèrent à Bombay le lendemain matin. M. Dikshit accompagna sa sœur à l’hôpital le mercredi matin. Mais l’opération avait été remise, comme l’avait prédit Baba, au lendemain, jeudi.

Le mercredi soir, pendant que M. Dikshit était assis au bord de son lit avant de se coucher, un liquide clair comme de l’eau se mit à couler abondamment de sa narine gauche. Il n’éprouvait aucune douleur ; juste cet épanchement liquide qui coulait à flots.

A bout de quelques minutes, son pyjama était trempé. Il fut obligé de se changer. Dikshit et sa femme étaient fort intrigués par ce flot qui s’était mis à couler si soudainement et qui s’arrêta net. Il n’avait pas de rhume de cerveau, et, de toute façon, pourquoi le liquide coulait-il d’une seule narine, et en telle quantité ? Néanmoins, ils oublièrent bientôt l’incident, car leurs pensées étaient préoccupées surtout par l’opération qui devait avoir lieu le lendemain.
A neuf heures du matin, la sœur de Dikshit fut transportée en salle d’opération. Au bout d’une demi-heure, un des médecins présents ressortit et dit à Dikshit : « Nous ne pouvons pas trouver la tumeur qu’on voyait si nettement à la radio. On n’a trouvé qu’un liquide clair, comme de l’eau. Aucun signe de cancer. Nous avons drainé tout le liquide et nous sommes en train de le congeler afin de faire une biopsie dans les vingt-quatre heures, pour être sûr que tout est clair. »
Le lendemain matin, M. Dikshit retourna à l’hôpital pour les résultats de la biopsie. Le même pathologiste le reçut et annonça : « Tout va bien ; il n’y a aucune trace de cancer. Celui-ci a complètement disparu, on ne sait comment. »

Les médecins étaient très intrigués par la disparition inexplicable d’un cancer dont la présence était indéniable dans tous les examens de laboratoire. Mais M. DIkshit, quant à lui, n’était aucunement étonné ; son cœur débordait de reconnaissance envers le médecin suprême.

Entre-temps, le mari de sa sœur était arrivé de Delhi pour être sur place pendant l’opération prévue. Après avoir été mis au courant des évènements, il se rendit tout droit à Prashanti Nilayam, où Baba était de retour, et attendit devant la salle de prières pour exprimer sa reconnaissance. Au bout de quelques instants, Baba apparut au balcon juste au-dessus de lui, et l’appela aussitôt. Il lui dit en souriant : « Il n’y avait rien, n’est-ce pas ? Seulement de l’eau ! Eh bien, réjouissez-vous. Votre femme est de nouveau en bonne santé. »

C’est sans doute une méthode étrange et peu commune que de guérir une personne par l’intermédiaire d’une autre.

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Ecrit le: Mercredi 11 Novembre 2015 à 16h57 Posted since your last visit
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Les maladies et souffrances prises par Baba à ses disciples à distance:

page 202


Citation ("Sai Baba @ l’homme des miracles", Howard Murphet, page 202)
Sathya Saï Baba, de même, a pris sur lui et a souffert les douleurs physiques à la place de ses disciples. M. Kasturi raconte ce qui suit, dans son livre sur la vie de Saï Baba : Un jour, un médecin des environs de Maduraï lui avait écrit qu’il souffrait de douleurs dans une oreille et qu’elle s’était mise à saigner ; mais le mal avait disparu soudainement, d’une manière miraculeuse. M Kasturi ajouta que la lettre lui parvint juste au moment où Baba lui-même venait de se « délivrer » d’un mal d’oreille avec une légère hémorragie, annonçant que ce mal avait été « enlevé ç un disciple qui en souffrait atrocement ». M. Kasturi raconte aussi que « Sathya Saï Baba a pris sur lui, avec toutes les douleurs accompagnantes, les oreillons, la fièvre typhoïde, les douleurs d’accouchement de ses disciples ».

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Ecrit le: Mercredi 11 Novembre 2015 à 17h16 Posted since your last visit
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Un autre Bruno Groening (ou une reincarnation )?
Bruno prenait aussi le mal des gens. Il n'a vecu qu'une cinquantaine d'années, sans doute devoré energetiquement.
Mais ne peut on pas agir en tant que canal trnasmettant l'energie necessaire au corps pour qu'il se guerisse, sans pour autant user sa propre energie jusqu'à la souffrance ??
Je prefererais nettement..
Quaoique Keshe affirme que notre nourriture physique ne represente que 20% des besoins du corps et que de nombreux organes vont se servir tous seuls en energie dans l'environnement.


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Peuple de France, tranche dans le lard en sachant faire une addition des voix
Vote à 100% pour Mélenchon, le seul qui parle de paix et de partage des richesses
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Ecrit le: Mercredi 11 Novembre 2015 à 17h42 Posted since your last visit
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Je ne crois pas qu'on ait besoin de Keshe pour savoir que des gens peuvent se nourrir de prana exclusivement sans jamais manger de leur vidé (inédie); sujet largement abordé sur les forums ailleurs.

Pour ce qui est de prendre de la souffrance des autres, c'est semble-t-il lié aux lois du karma (qui est une énergie emmagasinée par la personne) et donc une décharge d'énergie vers un autre réceptionnaire... qui si il est assez évolué sera capable de dissiper cette énergie ou la transmuter en une forme moins nocive pour avoir des effets bien moins forts que l'effet d'origine. Mais comment: mystère?
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Ecrit le: Dimanche 22 Novembre 2015 à 21h41 Posted since your last visit
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Citation ( BlueDragon @ Mardi 03 Novembre 2015 à 08h34)
On se donne rendez vous dans 20ans (si on est encore de ce monde ?). Sinon j'ai commencé le livre prescrit par lightinway et il commence bien. Un indien qui fait des condensé  (et quand je dis condensé je pèse mes mots car en 2/3 pages il envoie un paquet d'info qu'il faut bien comprendre ! ). L'approche est bien pensé, très interessante et donne à réfléchir. Encore un livre de qualité, merci !

Du coup je vais laisser Keshe de côté car je suis de nouveau dans un cycle d'avancée spirituel. Décidément ils sont de plus en plus rapproché ! 

Content qu'il te plaise. C'est un excellent livre, très pédagogique, les choses sont exprimées clairement, sans redondance; pas ennuyeux et qui permet d'apprendre beaucoup dans le domaine spirituel sous forme condensée sans que ça soit barbant ou pompeux car c'est un enseignement oral consigné par écrit; alternant les enseignements avec les expériences sur terrain de la personne qui se fait enseigner et visite les sphères astrales les nuits et qui vit des aventures.

Je l'ai lu par groupe de 10 pages chaque jour pendant les grandes vacances à mes enfants pour leur faire une base de connaissances spirituelles.

C'est un livre que je prendrai plaisir à relire de temps en temps et que je conseille vraiment à toute personne intéressée dans me domaine spirituel. Son titre est très mal choisi, car il n'en montre absolument pas la qualité qui est dedans en rapport avec le titre. On croit qu'on va suivre quelqu'un qui dort alors que ce n'est en rien le cas; c'est vraiment un enseignement bien ficelé et des expérimentations directes de certaines des choses enseignées par celui qui reçoit l'enseignement.


Avec un mauvais titre, il se fait une mauvaise publicité; dommage. Ce livre aurait pu s'appeler: "enseignements sur l'évolution de l'âme, son but et ses transformations depuis sa création, les corps d'énergie humains et les mondes astraux et mentaux, la façon dont il s'agencent, ce qu'on y fait après la mort et durant les nuits, ainsi que expériences vécues sur ces plans pour corroborer les enseignements" ça aurait été plus adapté mais plus long. Bref un bouquin à recommander +++ de mon côté.

Bonjour,

Je viens de terminer le livre. Il est juste magistralement très intéressant, je suis conquis ! Il y a deux ou trois points qui à la lecture ne m'ont pas plu, mais tout l'ensemble est vraimment bien.

Je sais que l'on sort un peu du cadre sathya sai baba, mais as-tu d'autres références que tu penses être interessants à lire.

Je conseil ce livre à tous, que vous y trouviez des informations qui vous parle, ou qui ne vous parle pas. Pour ma part, il permet d'éclaircir pas mal de point et j'en remercie chaleureusement l'auteur ( et lightinway pour me l'avoir fait découvrir). Cependant je sais que tout ne s'y trouve pas wink.png j'ai un petit arrière goût de "c'est complet mais ça ne couvre pas encore cette chose impalpable que je recherche".

Donc si, LightInWay, tu peux me proposer d'autres ouvrages dans cette veine (ou autre veine peu importe), je suis preneur car tes références sont de qualités.

Merci !


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